Dernières critiques Rss

Publié le 23 juin 2002  à propos de E.T. l'extra-terrestre
Bonjour,je m'appelle Cyril. Je trouve que se film est hipeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeert chouette!

Publié le 22 juin 2002  à propos de Les femmes... ou les enfants d'abord...
Les personnages du film sont simples dans le bon sens du terme, des êtres humains dans leur banalité. Mais l'on sait qu'assumer une existence n'est pas toujours facile et en fait jamais banal.En plus, une tuile de dimension tombe sur l'un deux. Mais comme il s'agit de gens simples , eh bien on 'assume' la 'tuile' tout simplement. Et la 'tuile' de devenir un merveilleux cadeau.Ce film est très touchant et jamais lourd. Il est magnifique d'humanité et finalement très optimiste ; il donne envie de vivre.Il est, tout comme les acteurs, parfois un peu triste, parfois un peu drôle, parfois rien du tout mais toujours légèrement. Une réussite dans le genre; donc excellent.

Publié le 22 juin 2002  à propos de Irréversible
Toutes les critiques sont à côté du film, qui, loin d'être gratuit et vulgaire, propose en fait une nouvelle façon de lire le cinéma. D'ailleurs, c'est toujours comme ça : quand un réalisateur met au point un nouveau mode de narration, les gens l'assimilent et le comparent à un autre, pré-existant, et le juge en fonction de ça. Donc, on dira que c'est mauvais parce qu'on trouve que ça ne correspond pas à ce qu'on connaît, alors qu'il suffit de lire le film selonune autre optique. L'optique d'Irréversible, c'est l'immédiateté, la non-médiation, la dimension inévitable, et indépassable, du contenu humain présent dans tous les actes. On a souvent parlé du 'viol'. C'est déjà passer à côté de son rôle dans la narration. Le rôle de la scène de 'viol', n'est pas de montrer un viol. Mais bien un 'viol', avec les guillemets. Ce qui est vécu par l'actrice, et le spectateur, ce n'est pas quelque chose de conceptualisé, de médiatisé par le langage, c'est un fait BRUT. Il n'y a aucune mise à distance. Parler de viol, c'est déjà conceptualiser et enfermer dans un cadre la situation qui est vécue, et juger le comportement des deux autres protagonistes en fonction de notre propre acceptation du terme de viol. En fait le film définit le viol dans sa narration, mais ne parle pas d'un viol. Seulement d'un 'viol'. Quel intérêt? Le manque de médiation se reflète aussi par le fait que le temps de la narration est égal au temps du récit : l'histoire dure 1h39, le film aussi. Le spectateur n'a donc aucune mise a distance possible, aucune abstraction possible sur ce que les acteurs vivent. Cela signife que nous en sommes remis à 'réagir' rapidement face aux scènes du film - violentes ou non. Ce qui en ressort, c'est nos réactions les plus spontanées, pas les plus réfléchies. Et le film met mal à l'aise pour ça, pas pour autre chose. Parce que nous n'aimons pas nos propres réactions spontanées. Elles sont proches de celles qu'ont les deux hommes qui se vengent violemment. Le film nous interpelle et met à l'épreuve notre capacité à réagir en accord avec les principes de vies que nous pensons être les nôtres. Cela signifie que ce que le film effectue, c'est un appel à la réflexion sur la résistance morale que nous pouvons avoir face à ce genre d'événements devant lesquels il n'y a aucune médiation possible : pas d'abstration, pas de conceptualisation, pas de traitement du momentpar le langage. L'issue finale montre que la justice ne s'effectue pas plus quel que soit l'acte porté (se venger sur la bonne personne ou pas) si il est déterminé par les réaction primaires qui se développent face à la violence. La seule issue est la résistance morale. Et ce film apparaît sans issue, pour la simple et bonne raison qu'il n'y a pas de résistance morale de la part des personnages. Cela nous met mal à l'aise. Mais c'est pourtant un des meilleurs appels à la réflexion, et un nouveau mode de narration, qui nous est proposé par Noé.

Publié le 22 juin 2002  à propos de Femme Fatale
Une exceptionnelle virtuosité mise au service d'une intrigue parfaitement inintéressante, même après la surprise (qu'il ne faut néanmoins pas dévoiler). N'arrive pas à la cheville de 'Habla con ella', dont la forme ET le fond sont passionnants.

Publié le 22 juin 2002  à propos de Femme Fatale
Concernant la fabuleuse rebecca voir le mail de Frans, tout est dit :). Sinon, personnellement, j'ai failli sortir de la salle au bout de 25 min tellement le scénario me paraissait invraisemblable (mais alors là, dans le genre, ça atteint des sommets, houlaaaa...). Mais ne vous inquiétez pas c'est normal...je ne peux pas en dire plus sans dévoiler la seule - mais de taille - originalité du film (enfin mis à part rebecca R-S, bien sûr :))...

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