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Publié le 26 septembre 2017
Dommage. Le concept était en or, TS est un scénariste doué mais il a encore à faire ses preuves en tant que metteur en scène, celui qui aurait pu lui dire d'écourter certaines scènes bavardes et "self-conscious". Faire capoter l'aspect "policier" vers le 2ème tiers du film est certes novateur et introduit bien le reste, mais il y a tout de même trop de faiblesses, comme l'abus de caméra subjective, en veux-tu, en-voilà. Pas de quoi en faire un film extraordinaire comme le disent nos bons critiques, aveuglés qu'ils sont par le côté "réserve indienne", bien mieux illustré il y a qq années par un autre film dont je ne me souviens pas du nom mais qui était bien plus "glaçant" comme on dit pour décrire celui-ci. Tout de même, on ne perd pas son temps à le voir.

Publié le 12 septembre 2017
Voici un film qui n'est pas pour cinéphiles, mais bien pour d'aimables amateurs venant passer deux heures de distraction... Avec ça, pas mal fait du tout et il ne demande même pas de se creuser la cervelle pour comprendre l'histoire !

Publié le 1 juin 2017
Voici un film boursouflé qui poète au-dessus de son luth, qui court après Lynch en haletant et qui croit mettre un losange avec triangles comme un symbole sublime... Tout ici est cliché et oeuvre de faiseur, pire encore que "Drive" (qui, déjà, ne valait pas grand'chose avec un Gosling en pur béton). En fait, on peut en rire, sauf pour les pauvres couillons qui ont payé 10 € pour ce navet fulgurant et prétentieux (pas payé, vu en DVD...).

Publié le 28 mai 2017
Un joli film britannique(on y entend tous les accents de la Grande-Bretagne)certes pas un immortel chef d'oeuvre, mais plus subtil qu'on ne le penserait à première vue. Le "film dans le film" est évidemment un lieu commun, mais ici très bien traité - l'idée de faire évoluer le scénario avec des rushes est excellente et la réflexion sur ce qu'est un film s'applique évidemment au film lui-même(on pense évidemment au Ciudadano Ilustre où l'ambiguïté règne en ce qui concerne le récit). Avec ça, une mise en scène tirée au cordeau (bonjour les clichés !), du joli mélo, des acteurs parfaits (à croire que chez tout Anglais se cache un acteur).

Publié le 7 mai 2017
Une fois de plus, Kore-Eda fait entendre sa petite musique sur fond de familles plus ou moins dysfonctionnelles et de fascination pour la mort (on peut faire l'impasse sur son "Poupée gonflable", définitivement à jeter). Il ajoute ici un environnement de typhons qui ravagent régulièrement le Japon mais qui cette fois permettent (enfin, le n° 24, comme le Concerto du même nombre de Mozart, Sturm und Drang, bien qu'une clef du film soit plutôt le quatuor op. 131 de Beethoven) un certain rapprochement assez impur des personnages - sans lendemain, bien sûr. Inutile de parler de la mise en scène parfaite, des images rigoureuses et du jeu excellent des acteurs. Après un ou deux films qui tendaient un peu à ronronner, Kore-Eda nous livre à nouveau un très beau film parfois un peu hypnotique mais toujours très ambigu et exigeant.

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