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Dernières critiques Rss

Publié le 8 février 2005 à propos de Alexandre

Dans le film d'Oliver Stone, Alexandre le Grand est...petit. Qui plus est, il porte une perruque de blonde peroxydée est est aussi charismatique q'une cure-dent. Il a un style plus Alexandra qu'Alexandrie, si vous voyez ce que je veux dire. Un bon quart d'heure: la bataille contre les Perses. Sinon, 2,5 heures de dialogues soporifiques. Un remake de "The Doors" en 323 avant JC.

zorro

Publié le 8 février 2005 à propos de L'un reste, l'autre part

Rien de bien nouveau sous le soleil.Les hommes sont lâches et inconstants;les femmes sont vénales et possessives et elles finissent par s'accrocher à leur petit nid et à ses occupants ( Berri est-il un brin misogyne ?).Par contre,pour celles qui en doutaient, on peut certifier que pour une femme coucher en pleine lumière avec un homme bien mûr et bien dodu demande beaucoup de courage ou beaucoup d'amour(qui on le sait rend aveugle).A part cela,le personnage de Nicole(Noémie Lvosky) méritait un approfondissement tout comme celui de Anne-Marie (Miou-Miou) paraissant détachée de tout mais qui semble regarder tout cela avec je ne sais trop quelregard.La question que je me pose est pourquoi Berri a-t-il réalisé ce film un peu "plan-plan" comme dirait l'autre. Il mérite cependant une certaine indulgence notamment parce qu'il a réuni de tels acteurs et surtout la toujours merveilleuse Nathalie Baye.

MTIM

Publié le 8 février 2005 à propos de Tarnation

Bof bof bof bof bof bof ... trop long clip de 88 minutes sur une musique pas mal du tout mais aux images un peu trop arty-cheap. Encore un film de plus sur le quart-monde américain, capté avec quelle prétention !!!!!!!. Heureusement qu'il est gay le Caouette, on peut plus facilement comprendre les problèmes du père absent et de la mère foldingue !!! Ah oui aussi grâce à ça, ça a permis de trouver les amis Gus et Cameron comme producteurs ! Signé: Un cinéphile gay mais très endormi après la vision de ce film mal foutu.

Gay D'art

Publié le 8 février 2005 à propos de Sarabande

De la beauté!Tout simplement.Bergman nous donne une (dernière) oeuvre en apothéose de son immense talent. Dix chapitres des relations humaines et familiales allant de l'amour à la haine, à l'apaisement, de la nostalgie à la solitude. Quelle leçon de couleur, de maîtrise de ces somptueux acteurs. Quelle thématique ; la transmission du savoir, de l'envie, de la vie, de l'argent. Cette danse "sarabande" est la danse de la vie, la danse de sa vie. Un réel bonheur de goûter à cette vision arrivée à complète et totale maturité. Bravo!