motardblond

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  • Membre depuis le 15/04/2007
  • Nombre de critiques : 90
Publié le 13 septembre 2007
Sujet très (trop) connu et bien prétexte de cette énième chronique des émois d'un jeune trentenaire branchouille sauf que Romain Duris est là et ça devient intemporel de sa seule présence. L'intelligence, la subtilité, le naturel de son jeu en font selon moi l'acteur français le plus incroyablement passionnant du moment et il le confirme de film en film. Son sens du comique, du timing, de l'espace, n'a jamais été aussi pertinent. Si vous aimez Romain Duris, courez voir ce film ! Si vous ne l'aimez pas, courez-y quand même ! C’est un film original et superbe, un excellent scénario et, outre Duris de bons acteurs. Une image super belle et des dialogues qui sonnent juste. Bref, c’est un film sans pise de tête et où on rigole beaucoup.

Publié le 20 août 2007
Julie Delpy ne s’y est pas trompé pour nous divertir en ne se prenant pas au sérieux. Ça nous change et le côté satirique ne tombe pas dans les pièges faciles et l’humour l’emporte sur ces travers du stéréotype. Attendons son prochain film !

Publié le 20 août 2007
Le pathos, oui, le rose bonbon et le voyeurisme, non. C’est d’un manque total de pudeur, bien loin du livre magnifique d’origine : du cinéma facile et bon marché. Où sont passés Almaric le magnifique, l’émouvante Marina Hands ou la talentueuse Marie Josée Croze ? Et le réalisateur est-il bien celui de « Before night falls » ? Le plus grave, c’est que ce film n’est pas de la fiction. Bref, une claque pour Schnabel.

Publié le 21 juillet 2007
Dans le genre ringard, difficile de faire mieux. C'est bourré de stéréotype. Un scénario qui ne tient pas la route un seul instant ! Sandrine Kiberlain est bonne; le reste, ce serait plutôt style nul de chez nul. Le héros est le beauf moyen qui se prend pour un héros : on n'est pas loin de la manipulation. Bref, un film politiquement correct et artistiquement nul.

Publié le 21 juillet 2007
Marianne Faithfull sauve la mise. Il n'empêche, c'est ennuyeux et mou avec un scénario mincissime. Sentimentalisme, oui, sensualité, non : à chacun son choix et celui-ci n'est pas le mien.

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