lefavori

Bariguian Guillaume
  • Membre depuis le 16/05/2006
  • Nombre de critiques : 12
Publié le 25 avril 2006
Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas autant marré. Ce film est tout simplement hilarant, cosmique, bidonnant mais aussi quit gore du début jusqu'à la fin. Il me rappelle un certain Braindead (qui lui n'a pas si bien vieilli) dans sa réalisation et son overblood effect qui vous gicle sur la figure toujours quasiment au moment ou vous vous y attendez le moins. Une équipe de tournage, composée de pseudo loosers: simplet le chercheur, le anti-héro sorti tout droit d'une gaypride techno dans son costume aluminium, la barby muppet, le caméraman et le preneur de son, mené par une journaliste nympho et cocainogirl se retrouvent à un diner aux chandelles avec une bande de dégénérés démembrés du cerveau (qui s'avèreront d'une terrible efficacité face aux extra-terrestres sanguinaires venus découper, dépesser, évider nos vaches dans nos campagnes et en passant engrosser la gente féminine du patlin à coup de grand scalpel et autres instruments coupants) afin de recueillir et mettre en scène donc, l'histoire de la soeur des dégénérés mentaux mais néanmoins amis des vaches. Mais durant leurs investigations, notre fine équipe, présentée au début comme étant la pire looser team of the century, va se heurter à une bande d'extra-terrestres totalement psychos à l'allure de Prédator mais avec les rastas en moins dans un mortal combat hyper sanglant néanmoins bourré de rebondissements et d'humour cosmique. La bande de bras cassés se transforme alors en une surprenante équipée sauvage, plus sauvage que les monstres sanguinaires venus de l'espace. Le passage de vie à trépas de l'anti-héros gay dans son costume aluminium est absolument gore de chez gore... Un film surprenant dont le rythme halletant vous tiendra en haleine du début jusqu'à la fin dans un creshendo ou l'on se demande:"What's next?" devant de telles scènes de décapitations, découpage de membres et autres bushery.

Publié le 25 avril 2006
Un film d'une platitude effrayante, un suspens encordé à un scénario creu comme la grotte ou se déroule l'action: faut-il monter ou descendre , telle est la question ? Décevant et soporifique, The Descent: à utiliser en cas d'insomnie chronique afin de vous enfoncer plus profondemment dans votre matelas.

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