Goodbye Lenin!

Origine:
  • Allemagne
Genre:
  • Comédie dramatique
Public: À partir de 12 ans
Année de production: 2003
Date de sortie: 10/09/2003
Durée: 2h01
Synopsis : Après 8 mois, la mère d'Alex sort du coma. Son coeur est si faible que chaque choc peut la tuer. La chute du mur de Berlin et la triomphe du capitalisme est un tel choc pour la socialiste. Alors pour sauver sa mère Alex essaie de soulever des montagnes pour lui faire croire que rien n'a changé et que Lenin a gagné.
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    9.5/10 50 votes - 48 critiques

Actualités du film Goodbye Lenin!

Jan Ole Gerster, sacré gamin !

A 21 ans, il était chauffeur pour Harvey Weinstein et faisait le café pour Tom Tykwer. Rencontre avec Jan Ole Gerster, nouveau prodige du cinéma allemand, dont le premier film, Oh Boy!, fait le tour du monde.

Avis des internautesdu film Goodbye Lenin!

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Publié le 29 novembre 2003
mode d'emploi sur la vie en DDR avant la chute du mur, un petit film très très sympa à ne pas manquer

Publié le 25 novembre 2003
Un merveilleux film, drôle, sensuel, sérieux.Du pur cinéma, sans effets spéciaux, seul le talent du réalisateur et des acteurs vient nous émerveiller. L'amour d'un fils pour sa mère, pour la protéger, la recherche du père et finalemement du bonheur. Du 7ème art comme cela on en redemande.

Publié le 21 novembre 2003
et si chaque film serait comme celle-ci?

Publié le 15 novembre 2003
Excellent.

Publié le 11 novembre 2003
Savoureux et émouvant, Good Bye Lenin est un film d'auteur, un film qui ne ressemble à aucun autre, un clin d'oeil grave à l'histoire. Une sorte de dissertation sur l'idée selon laquelle l'herbe est toujours plus verte ailleurs. C'est aussi une manière de rappeler aux cinéphiles le ton, la musique intérieure des films venus jadis des pays de l'est : les premiers Forman ou les Wajda. Une sorte de cinéma de résistance paradoxal qui, sans juger, décrit avec humour comment un monde bascule, comment ce qui fut le quotidien de millions de gens s'abolit si vite, en quelques semaines, en quelques jours, comme une trace sur le sable effacée par la mer. Les personnages centraux sont savoureux. Le fils qui, avec ses trucs et ficelles, construit un théâtre vivant pour faire croire à sa mère que rien n'a changé et elle, qui comme dans La Plaisanterie de Kundera, a aimé le communisme à défaut d'aimer suffisamment un homme... Puis, il y a cette scène où le héros, devenu adulte, se retrouve chez son père, à quelques kilomètres de chez lui, mais à l'Ouest, dans un autre monde, sur une autre planète, preuve s'il en est que le mur a eu beau tomber, il est resté là, dans l'âme, dans les conditions de vie, dans ce qui est le plus profond et le plus indéchiffrable

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