Mensonges d'état
Titre original: Body of Lies
Réalisateur:
Synopsis :
Roger Ferris est le meilleur homme de terrain des services secrets américains, capable d'intervenir dans les zones ultra sensibles dont personne ne sort vivant. Mais cet agent aguerri est un homme sans identité, condamné à changer sans cesse de nom, de visage et de planque, et dont le seul contact avec le monde est la voix désincarnée, à l'autre bout d'une ligne sécurisée.
Le vétéran de la CIA Ed Hoffman mène la guerre à sa façon, sur un ordinateur portable, depuis le living de sa maison de banlieue, dictant à Ferris les manoeuvres qui lui permettront d'échapper aux balles de l'ennemi...
Le vétéran de la CIA Ed Hoffman mène la guerre à sa façon, sur un ordinateur portable, depuis le living de sa maison de banlieue, dictant à Ferris les manoeuvres qui lui permettront d'échapper aux balles de l'ennemi...
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2.5/10 Cote de du film Mensonges d'état
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5.0/10 Cote de du film Mensonges d'état
Avis des internautes du film Mensonges d'état
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Publié le 3 décembre 2008
Un film somme toute assez moyen. Le positif: comparativement à de (déjà trop) nombreux films sur un sujet similaire, la description du contexte (point de vue des autochtones, caractère foutraque des opérations sur le terrain, décors...), 'Body of Lies' est sensiblement supérieur à la moyenne; la qualité générale de l'interprétation. Le négatif: l'impression que c'est calibré pour refaire une virilité à L. Di Caprio (rôle physique de baroudeur râleur perpétuellement couvert de blessures diverses, ecchymoses, bandages, stéristrips, etc. : caricatural et grotesque au fond), mauvaise caractérisation des personnages (Di Caprio refait mutatis mutandis exactement le même rôle que dans 'Blood Diamond'; comment croire au personnage haut placé dans la hiérarchie de la CIA de R. Crowe, alors qu'il est balourd, bavard et affublé d'une horrible teinture de cheveux "trempés dans la soupe"; un responsable des services secrets jordaniens bien joué mais auquel on a donné le look YSL/Givenchy d'un danseur étoile des ballets de l'Opéra de Paris dans les années 70...); de très lourdes répétitions visuelles (les images satellite, les 4x4 soulevant des nuages de poussière, les papotes bluetooth); et la cerise sur le gâteau: un récit finalement sans surprise, qui fait que, lorsque le générique s'affiche sur l'écran, on se demande déjà ce qu'on en retiendra... Bof!
Publié le 3 décembre 2008
moi ce qui ma choqué sans vouloir faire de polémique, c'est le danger du message que peut faire passer une traduction foireuse.
a un moment, le personnage de caprio se retrouve au milieu de femme dans un centre ou je ne sais trop quoi avec l'actrice arabe, il la drague un peu donc dans le film et la, les autres femmes qui parlent arabes disent c'est quoi ce fou du au fait qu'il a pas trop l'air a l'aise etc
par contre la traduction dit c'est quoi ce juif ????
je trouve quand meme assez incorrect de laisser des traductions laisser sous entendre ce genre de messages pour garder cette rancune musulmans/juifs
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jfs