Dernières critiques Rss
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Publié le 5 juillet 1999
à propos de
Star Wars - Episode I: La Menace Fantôme
Bof ... Ce film aurait pu faire un tabac s'il était sorti il y a vingt ans. Les amateurs de la série originale ne devraient pas être dépaysés : rien ne change dans l'intrigue. Ils risquent par contre d'être déçus par un film qui n'introduit aucune nouveauté. Comment ne pas ressentir cette impression de déjà vu et déja revu lorsque'on vous présente ces mêmes ingrédients en permanence : le maître jedi qui se fait tuer devant les yeux de son disciple, la grande bataille qui semble perdue et dont l'issue change à la dernière minute, la grande fête des ewoks, pardon, des naboos à la fin, ... Ne vous laissez pas influencer par la pub : évitez ce film comme la peste ...
Publié le 5 juillet 1999
à propos de
Mon ami Joe
Un bon Walt Disney plein de sentiments, avec des méchants très méchants, des gentils très sympatiques. Evidemment tout plein de clin d'oeuils à King Kong. Un film rafraichissant agréable à regarder lors d'un vol transatlantique ;-)
Publié le 4 juillet 1999
à propos de
Feux d'artifice
Hana bi veut dire 'feu d'artifice' et paradoxalement c'est à un festival de sobriété que Takeshi Kitano nous invite. Violence et calme se mêlent à chaque moment pour faire éclater des sentiments comme jamais un cinéma ostentatoire n'y arrivera (suivez mon regard...). Bref, une histoire de gangsters, d'amour et d'amitié (artistique) dans laquelle le héro n'a pas besoin de prononcer plus de dix phrases complètes pour nous faire chavirer sur toute la gamme des sentiments.
Publié le 4 juillet 1999
à propos de
La Cité des anges
Oui, Hassan, tu as raison, ce film est très tendre, très doux. J'en suis sortie (il y a longtemps) avec la même impression que toi. Le problème est que l'impression que laisse ce film ne dure pas. De la tendresse kleenex alors ? Le problème du film, il me semble avec le recul, est que les deux personnages ne communiquent finalement jamais vraiment, chacun d'entre eux étant enfermé dans sa contemplation individuelle de l'idée qu'il ou elle se fait de l'amour absolu... Par contre, bien des années plus tard, je garde une forte impression de l''original' de ce film, à savoir 'Les ailes du désir' de Wenders, alors qu'il était de loin plus âpre et difficile à comprendre (et toujours pas compris mais le 'mystère' constitue une grande part du sentiment amoureux). Il y avait dans ce film le souffle d'une sorte de communion universelle alors que, paradoxalement, c'est plutôt le sentiment de solitude qui ressort à long terme de 'City of angels'...
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David Buchet