pekka

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Publié le 11 juillet 2011
3D coruscante (attention, les yeux !), effets spéciaux pantelants, quelques brins de dérision un peu cynique (acteurs "empruntés" aux frères Coen), début pas mal réussi, final interminable et écoeurant, personnages sans épaisseur, arrière-fond moral délétère, ce film est tout à fait "artificiel" et totalement sans âme. Terriblement révélateur de la pathologie d'une évolution (reversible, je l'espère : que vienne le temps de la décroissance !) de la société contemporaine...

Publié le 20 juin 2011
Hormis deux doigts de scènes réussies et quelques acteurs de talent, ce film est un pur produit franchisé, prémâché, prédigéré et assez fade. Rien d'un cocktail canon!

Publié le 20 juin 2011
Oui, bravo ("beaucoup de films, mais pas assez de cinéma": j'adhère à 150%!) et bienvenue à VictorB, qui apporte un contrepoint 'Cahiers' pertinent sur ce blog!

Publié le 14 juin 2011
Hélas, cette suite (avec annonce d'un 3ème volet...) est plombée par un scénario laborieux, une morale simpliste, des seconds personnages sans épaisseur (sauf Ping, le père adoptif de Po). Restent une certaine somptuosité des décors et une virtuosité technique indéniable. Un divertissement pas désagréable, mais décevant.

Publié le 10 juin 2011
A réserver aux spectateurs qui ne connaissent pas (encore) les chefs-d'oeuvre de Pina Bausch, l'un(e) des plus grand(e)s artistes de la seconde moitié du XXème siècle (sinon le/la plus grand(e)!...), toutes disciplines arttistiques confondues effectivement. Si Wenders respecte encore le 'Sacre du Printemps', dont il donne donne un aperçu suffisant pour pouvoir s'immerger dans la dimension artistique de la création, il échantillonne de manière mièvre et esthétisante les chefs-d'oeuvre que sont 'Café Müller' ou 'Kontakthof', sans parler de 'Vollmond', ou des instantanés replacés artificiellement dans un contexte urbain, paysager, industriel ou architectural (très clichés, d'ailleurs). Les images de Pina B. elle-même relèvent de la catégorie "hommage" la plus désincarnée et artificielle qui soit... Si les visages des danseurs de sa troupe qui sont le plus parlants sont essentiellement ceux qui se taisent (...), la danseuse qui rappelle que Pina B. était agi(té)e par les questions essentielles: "A quoi aspirons-nous? Quel est ce désir ardent?" nous confronte à l'essentiel, que Wenders lui-même omet à force de tenter de "faire beau", de "faire de l'art avec de l'Art" de manière impuissante et stérile. Pour ceux qui auront découvert Pina Bausch avec ce film artificiel, ne pas manquer 'Tanztraûme (sur les pas de Pina Bausch)' ou les captations (non scalpelisées) de ses chorégraphies!!! Une grosse déception, en bref.

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