300

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Film historique
  • Action
Public: Tout public
Année de production: 2006
Date de sortie: 21/03/2007
Durée: 1h50
Synopsis : Durant la bataille de Thermopyles, le Roi Léonidas et 300 soldats Spartes ont combattu jusqu'à leur dernier souffle contre Xerxès et son impressionnante armée perse. Faisant face à des forces insurmontables, leur courage et leur sacrifice encouragèrent le peuple grec à s'unir contre les armées perses et à jeter les bases de la démocratie...
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    5.6/10 46 votes - 49 critiques
  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film 300

  • 7.5/10  Cote de DH.be du film 300

Avis des internautesdu film 300

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Publié le 28 mars 2007
le scénario de ce film doit tenir sur une anti-sèche ... les dialogues aussi... quel ennui, quel navet, suis assez surpris en lisant les commentaires que ce film ait pu plaire, même à une minorité...

Publié le 27 mars 2007
J'ai rarement vu un film aussi mauvais. Si vous avez 117 min et 7 euros à perdre, n'hésitez pas ! Une succession de bataille sans lien entre elles, scénario inexistant, des dialogues manichéens au possible... A éviter !!!

Publié le 27 mars 2007
Un condensé de tout ce que le cinéma américain associé à la culture pop-corn peut engendrer de pire… Surenchère puérile d’hémoglobine et de testostérone, composant un spectacle consternant de nature à plaire, au mieux, aux ados accros de jeux vidéos sanglants, au pire, aux aficionados de batailles bien gores où la bêtise dispute la primeur au vaudevillesque. OK, le film respecte l’esprit et la lettre de la BD de Frank Miller (il faut déjà apprécier le genre…), son graphisme synthétique, sa violence ultra-banalisée, ses dialogues taillés dans la pierre, mais était-il vraiment inéluctable de ne pas se rendre compte que ce qui peut encore s’avérer passable dans une BD, peut franchement virer au nauséabond lorsqu’on en transpose la démesure aussi catégoriquement et indistinctement sur de la pellicule ? Etait-il vraiment incontournable de faire gicler des hectolitres de sang synthétique jusqu’à provoquer la nausée, de faire défiler des créatures hybrides qu’on croirait recyclées de l’armée de Saroumane du « Seigneur des Anneaux », et de servir une ritournelle interminables de phrases pseudo-viriles creuses éructées par des excités du glaive ? Le propos m’eut moins dérangé si l’histoire avait été une invention pure, s’il ne s’était agi à la base d’un fait d’armes historique constituant l’un des points d’orgue de l’histoire de la Grèce antique, et vis-à-vis duquel un traitement plus attentionné et moins farfelu de la trame authentique eut été appréciable, à tout le moins plus respectueux. Certains objecteront que ce n’était pas le propos du film, parce que pas celui de la BD. Soit. Mais à traiter avec un tel rendu des faits historiques déjà méconnus du grand public, on ne sert pas forcément la culture populaire. Autre débat. Au moins si ‘300’ réussissait dans son ambition de distraire sans dégoûter, on lui tiendrait moins rigueur de ses carences. Mais à banaliser la sauvagerie et l’absence totale de respect de la vie dans l’attitude des personnages, au point de susciter des sourires blasés ou des soupirs chez les spectateurs les plus patients lors des scènes de mise à mort, on plonge souvent dans ce que le mauvais goût fait de pire. A pousser la mesure jusqu’à oser une scène ou s’entassent un amas de cadavres perses à l’image, un peu trop perceptible, d’un camp de concentration, on frôle dangereusement avec ce que ce même mauvais goût peut avoir de plus malsain. Il est permis de s’interroger sur les motivations réelles d’un tel étalage de viscères et de têtes coupées. Tout comme sur les risques potentiels d’une glorification, voire d’une légitimation, aussi manifeste de la violence comme seule arme de contestation, en accumulant des scènes de massacre avec la même légèreté et la même absence apparente de moralité que les jeux vidéos les plus extrêmes. On objectera qu’il faut savoir prendre les choses au second degré. Encore heureux. Reste à savoir si chacun en est capable, ce qu’une certaine actualité récente tendra peut-être à démentir. Mais laissons à d’autres plus qualifiés que nous le soin de débattre de ce phénomène. Pour se centrer sur le film, je ne retiendrai de positif que la qualité des effets spéciaux, largement servis par des images de synthèse omniprésentes, et une bande son réussie qui fait plutôt bien passer le bruit des épées qui tranchent joyeusement tout ce qui bouge. Au point ou ils sont utilisés, il est vrai qu’il eut été dommage de les rater.

Publié le 26 mars 2007
A mon avis, une des 1ers femmes a mettre une critique sur ce film... Bain de sang, de violence, de barbarisme, OK cela pourrait encore passer mais c'est tellement peu réaliste qu'on en rigole, je trouve. Je trouve ce film entre BD et fiction cliché à mourir. Si vous aimez les superbes pectoraux (clonés 300 fois) alors, allez-y mais ne chicanez pas si "quelques" gouttes de sang s'y collent... Pour être franche, mon mari lui trouvait le film encore "sympa" et trouvait que le générique final résumait bien le film...

Publié le 26 mars 2007
Très mauvais à plusieurs points de vue. Partant de Sin City qui était une vraie claque, et ayant en mémoire l'excellent Gladiator, le très regardable Troye ou même le passable Alexandre, je m'attendais au moins à quelque chose d'intéressant s'agissant d'un haut fait d'armes de la Grèce antique. Las, quel ne fut pas ma déception, leurré que je fus par les critiques mal avisés de La Libre et de la DH. L'image et la photographie, d'abord, déservent le sujet: les couleurs sont ternes, comme un vieux film noir et blanc mal colorisé, et sans relief, comme un ancien jeu vidéo du début de la 3D. Tout le reste n'est guère mieux: acteurs médiocres, ressemblant à de pâles clônes de Silvester Stalone et de Chuck Noris body-buildés à en péter les artères. Le scénario est digne d'un médiocre SF genre Starship Trooper, avec les monstres, l'hémoglobine, les scènes gore et les combats répétitifs. Je n'ai pas pu m'empêcher de rire devant un tel concentré de débilité. Que le public se pousse en masse pour assister à une telle médiocrité me renverse.

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