Un des pires filmes jamais faites. Le realisateur ne connait rien d'histoire, le film est remplí de morale chretienne fundamentaliste(Bush voulait nous envoyer un message peut-etre?). L''image finale de Leonidas dans la meme posse que Jezus dans ça crois resume la totalité du film. Un film pour les retardés.

Et Bob, l'émoglobine je te remet combien de tonneaux ? Laisse tomber les tonneaux amène les camions citernes ! Que dire de plus sur ce film ? Rien !? Ah ben non y a rien d'autre a dire c'est vide de sens, vide de jeu, en fait vide de tout. Enfin, la clientelle de "Ronis" spécialistes de la conversation au GSM en plein millieu du film aprécieront, ils pourront apeller leur potte pour lui expliquer :"Ziva c'est trop d'la balle, y a machin qui vient d'éclater la tête a l'autre et t'aurait vu, trop bien d'sa mère on a même vu les nerfs, quoi j'ai presque du sang du mes nouvelles chooses". C'est pas que ce film ne vaut pas la location en DVD c'est qu'il ne vaut même pas le peine d'être vu s'il était gratuit et même il faudrait me payer vraiment très cher pour que je le regarde jusqu'au bout. Franchement ce que j'ai vécu de pire c'est que c'est tellement bruyant que je n'ai pas pu m'endormir.

Un sacré moment de cinéma...Un graphisme à couper le souffle et la réalité d'une bataille sanglante il est vrai mais menée de main de maître par le réalisateur Zack Snyder. Performance exceptionnelle de l'acteur principal Gerard Butler a saluer également! Ce film ouvre une nouvelle dimension au cinéma et est selon moi déjà culte. A avoir absolument dans sa dvd-theque

Pas besoin d'être amateur de BD pour se prendre cette belle claque graphique en pleine bulle! Non, ce n'est pas un film historique écrit de la plume d'Orson Welles... et cela se comprend dés la première image (scène du Lesché)! A partir de là, il faut pouvoir se libérer l'esprit de toute contrainte "intelectuellement correcte" pour apprécier le spectacle. Je préfère la violence esthétique (quasi onirique) de ce film à celle bien plus crue d'un journal télévisé. Et comment critiquer le côté manichéen des personnages et de l'histoire alors que c'est un acte délibéré de la part de l'auteur. Les Spartiates eux-mêmes sont sont parfois anges, parfois démons. Seul l'américanisme latent de l'oeuvre me dérange un peu, style: les combattants du monde libre versus les fous de Dieu, si vous voyez de quoi je veux dire... Mais bon, tout est bien sûr affaire d'interprétation (et pas celle des acteurs du film, peu connus, mais qui s'en tirent avec brio). Cette oeuvre épique comblera ceux qui ont le don de s'élever au-dessus du premier degré... Ce film possède une dimension qui dépasse le côté glamour de Troie, l'ambiguité de Gladiator et la grandiloquence de Alexandre...

On peut légitimement penser qu'à la base Miller, plutôt que de se demander comment esthétiser la violence en images à partir d'un récit, s'est posé l'interrogation inverse. A savoir, quel scénario, script ou synopsis pourrait permettre de la sublimer de la meilleure façon qui soit. Et tout comme Miller a du s'y essayer à chaque planche, Snyder s'y emploie ici dans chaque plan, à chaque séquence, magnifiant chaque tête coupée, membre tranché et autre coup de glaive asséné. Outre la photographie irréprochabe, cette palette sublimement saturée où dominent ocre, vermillon et charbon, la beauté brute est transcendée par cette cohorte de corps puissants, de musculatures parfaites, de silhouettes sans défaut. Un festin pour les yeux férus de courbes fermes, de drapés fluides, de force superbe et de souplesse aérienne. Dommage qu'il lèche à ce point le visuel un peu trop au détriment du récit, s'oubliant dans l'imvraissemblance et les inventions douteuses. Quant aux acteurs, tous habités d'une prestance vigoureuse et imposante, le parti pris de les faire jouer sur un ton théatral et leur faire éructer bon nombres de dialogues sonnant étrangement drôles ou carrément creux désamorcent un peu trop souvent la réalité dramatique et historique du propos. Sans oublier la controverse liée à ce statut de héros et noblesse d'âme, concepts ici franchement immoraux si l'on retient que tout être chétif ou diforme est condamné ou banni de cette communeauté prônant la culture guerrière. Au final, un spectable riche d'emphase et de splendeurs graphiques mais bardé de bourdes qui lui coûtent cher,. Et ce, même auprès des fans de péplums modernes comme Troy ou Alexandre, de batailles d'envergure telles que dans Gladiator et LOTR, ou des derniers nés de l'industrie cinématographique de même facture stylisée, genre Sin City ou Sky Captain. Aucun doute cependant qu'il se vendra très bien sur le marché du DVD tant le travail numérique est grandiose! Après tout de bien pires navets scénaristiques y ont retrouvé gloire et lauriers. Et "300", autant décrié soit-il, penche plus du côté honorable que de la daube...