pilipilidef
lémo
- Membre depuis le 28/07/2006
- Nombre de critiques : 13
Publié le 23 mars 2006
Superbe film d'un réalisateur sans concession. Une belle méditation cinématographique, une ode à la nature et à la simplicité. La jeune actrice péruvienne est d'une grâce incroyable. Et si l'histoire est mince, les images vous emplissent les yeux. La musique s'accorde parfaitement aux mouvements très fluides de la caméra, très doux, comme le souffle d'une nature inviolée. N'écoutez pas les critiques négatives exagérément sommaires face au grand talent de Terence Malick.
Publié le 22 février 2006
Un film comme un pays, à découvrir, un autre regard sur le monde musulman. Une jolie fable, un beau documentaire sur l'Atlas et un plaidoyer subtil pour l'émancipation féminine. Sans oublier une belle relation fille-père, une réussite. A voir de tous ses yeux, sans réduction simpliste à un spectacle pour enfants.
Publié le 1 février 2006
Ce n'est en aucun cas une suite commerciale 60ans après la première. C'est peut-être le dernier Disney en 2D. L'esprit du premier est bien présent. Pour le reste, lisez Le Ligueur , page 3, vous y découvrirez une nouvelle rubrique images qui essaie de vous éviter de voir idiot.
Publié le 18 janvier 2006
Burlesque, jeux de mots, truffé de références pour cinéphiles, bien joué et mise en scène soignée, assez fin , rarement vulgaire, une réusssite dans le genre si périlleux du comique.Qui des bronzés 3 ou du ticket pour l'espace est le plus marrant? Pour moi, le bon numéro, c'est le ticket.
Publié le 2 janvier 2006
La lecture de certaines appréciations négatives me laisse pantois. Confondre humour et cynisme à rebours et parler de téléfim à propos d'un film magistral sur l'infâme commerce des armes est rabaisser le cinéma à un art mineur. A chacun son opinion, mais Lord of war fait partie de ces quelques oeuvres qui devraient faire l'unanimité pour leur dénonciation d'agissements inhumains comme le sont également les essais pharmaceutiques grandeur nature dénoncés dans Constant gardener. Loin d'ignorer les horreurs du monde, je pense qu'il toujours nécessaire de pointer les exactions cautionnées par les gouvernements. Ca s'appelle du cinéma politique et il n'y en pas ou plus assez.