motardblond

motardblond
  • Membre depuis le 15/04/2007
  • Nombre de critiques : 90
Publié le 13 mars 2010
Cette événement longuement éludé valait bien un film. C'est son mérite. L'Œuvre mémorielle du cinéma est d'ailleurs indiscutable. Seulement voilà, les intentions ne suffisent pas dans le 7°art. Si les faits de La Rafle sont bien réels - le film a té très bien documenté - leur transcription cinématographique n'est pas toujours heureuse. Le casting est excellent; or certains ne sont pas convaincants (Gad Elmaleh, par ex.). Une réalisation plus intimiste convenait sans doute mieux à la déréliction de ces femmes, hommes et enfants. Schindler's list est superbe et si comparaison n'est pas raison, il se dégage un sentiment de détachement de La Rafle : un comble ! Dommage.

Publié le 20 février 2010
Prendre un acteur blond pour interpréter Dumas et l'affubler d'une perruque frisée, ce n'est plus loufoque, c'est ridicule ! Je n'apprécie pas les maquillages de la réalité (comme le rôle de Bobby Sands dans le Hunger de Mc Queen) et ici c'est du n'importe quoi : pourquoi Eastwood n'aurait-il pas pris Depardieu pour le rôle de Mandela ? Le film est plat et le scénario maigre. C'est médiocre et ennuyeux. Bonne prestation de Poolvorde qui ne rattrape pas le reste. La magie qui a fasciné des générations de lecteurs de Dumas est totalement absente. Bref, à éviter.

Publié le 20 février 2010
Film culotté avec un Jim Carrey décalé et en super forme. Il en donne de l'ombre à son partenaire, Ewan Mc Gregor. Ca démarre sur des chapeaux de roues pour s'enliser un peu; les gags demeurent cependant. Une comédie aussi invraisemblable que rocambolesque, avec aussi quelques longueurs. Au final, un réussite qui emporte l'adhésion.

Publié le 20 février 2010
Heureuse surprise que ce premier film de Bernard Bellefroid. Il traite de la violence familiale, ici les difficiles rapports d'un père à son fils et de l'ambivalence des sentiments. Celui-ci va rechercher une porte de sortie : l'aviron. il est interprété très correctement par Joffrey Verbruggen (que je ne connais pas). Ce film a préféré le réalisme au romanesque, sans sentimentalisme et c'est un excellent équilibre. De belles images d'aviron aussi : quoi de mieux ?

Publié le 23 janvier 2010
Joël et Ethan Coen réalise ici un de leurs plus grands films. Tout est nickel, la photo, les décors, humour décalé et un brin philo. Le juif qui voit s'écrouler toutes ses certitudes autour de lui, c'est tout un programme.

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