une histoire en or, la mafia juive des années 80 transfere des millions de pilulles d'un continent à l'autre, des chapka truffées à l'ecsta.. pourtant il y quelques difficultés avec le scénario qui s'étire sans fin et n'apporte pas grand chose. décu aussi par le manque d'éthique qui fait d'un malfrat sans foi ni loi un héros sympathique qui a pourtant transféré 100 millions de pillulles d'europe en amérique (par zaventem d'ailleurs... )

l'absurde au fond du canyon : là franchement vous êtes durs les gars.. c'est un des grands films de cette jeune année.. la maestria des images, le ressenti des émotions, non mais.. ça vaut les 9/10 non? ça passe vite, oui, étrange non pour une intrigue très mince, ce qui prouve assez la maîtrise de la narration.. 127h arrive à nous tenir en haleine. et les hallucinations de l'assoiffé? du grand art, j'aimerais essayer rien que pour les vivre.. allez-y les yeux fermés, mais je ne suis pas sur que vous les ouvrirez d'un bout à l'autre. en le canyonland est splendide et pictural..

bon sang de bois! ça c'est du scénario du feu de dieu. c'est du rebondissant. de très bons acteurs (merci à lubna azzabal). Certains sur cette page n'ont pas bien compris je crois, bon, chacun son truc au fond.. mais la narration suis excellemment bien et garde la grande forme. le pire dans cette histoire est que ce genre de truc arrivent, et nous le savons. désolé pour jfs mais j'ai trouvé la chute excellente, elle tombe comme un marteau de juge, juste au bon endroit et à la dernière page.. ce qui évite les fins lourdes d’après intrigue. Ici ils ne se marièrent pas et n’eurent pas beaucoup d’enfants..

par trop téléphoné.. pas un grand cohen brothers ou je me trompe ? .. l'ambiance à la "unforgiven" (l'excellent western décalé de clint) est un peu gâté par le suprême de cliché, mmmh je me tâte, non non .. on est décidemment pas pris par le truc, décidemment.. ça se dit authentique mais on voit à travers l’image le bureau des préda-producteurs qui se frottent les mains au dessus du tiroir caisse. reste le divertissant et surtout le grandiose jeff bridges à l'oeil expressif. il porte le film.

100 m nage libre dans une piscine de miel : jvous jure, l'enfer ce truc, ça dégouline, il ne se passe rien, si au moins ça dérapait, déjentait, déraillait.. mais non.. rien de rien.. pfff... dire que j'ai raté derick sur rtl club pour voir ça..