gi

Gi
  • Membre depuis le 12/09/2006
  • Nombre de critiques : 22
Publié le 13 mars 2000
'être prisonnier de son image' Agnès Jaoui fait le tour du problème et en aborde même d'autres avec le talent qui est le sien. Comme tjrs finement observé et jamais moralisateur, on constate c'est tout. BACRI est sublime! j'ai bcp aimé.

Publié le 13 mars 2000
Extraordinaire Le thème de la peine de mort avait été abordé récemment par Clint Eastwood, dans son film il réussissait à sauver in extremis un innocent, Tim Robbins avait abordé le même sujet avec un magistral Sean Penn dans le rôle du condamné à mort, coupable celui-là mais oh combien humain, dans the Green mile autre cas de figure, le condamné à mort est finalement exécuté mais est innocent. On nous introduit dans la vie pénitentaire et le metteur en scène arrive a rendre ce monde carcéral profondément humain à travers les détenus mais aussi à travers ces gardiens de prison. Ce film est passionnant du début à la fin et je l'ai gardé dans la tête pendant plusieurs jours tellement il est poignant. Bravo!

Publié le 6 mars 2000
Je souhaiterais que tous ces musiciens vivent encore de longues années, que de talents! et quelle jeunesse dans leurs regards. J'ai bcp aimé et j'ai même versé une larme.

Publié le 24 février 2000
cher Delorme: Lorsque l'on dit (je vous cite) ...il faut être bien faible pour se faire avoir comme cela....Que penser d'autre?? Nous avons tous une manière de percevoir les choses heureusement! alors cette phrase me gêne un peu je l'admet. bien à vous

Publié le 23 février 2000
Cher Delorme, Vous semblez ne rien comprendre au cinéma, les fims d'Hitchkock étaient construits de la même manière ainsi que certains films de Brian de Palma d'ailleurs, cela n'empêchait pas de les revoir plusieurs fois pour d'autres raisons que la surprise finale, il en est de même pour le 6ème sens,je l'ai vu 2 fois et je le reverrai certainement avec bcp de plaisir. Au-delà du côté 'fantastique' vous passez complètement à côté (visiblement) de la profondeur des personnages, de la souffrance réelle de ce petit garçon, du sentiment d'échec de cet éminent pédopsychiatre, du sentiment d'impuissance de cette magnifique maman qui ne souhaite qu'une chose aider son fiston qu'elle ne comprend absolument pas mais qu'elle ne peut s'empêcher d'aimer, aimer si fort (elle est merveilleuse tonie Bennett), alors si vous vous arrêtez uniquement à l'ingénieuse idée qu'a eue le réalisateur de surprendre le spectateur et d'oublier tout le reste....Arrêtez de parler et allez plus souvent au cinéma, on en reparlera.

Newsletter Cinebel

Suivez Cinebel