derniermetro

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  • Membre depuis le 25/04/2007
  • Nombre de critiques : 7
Publié le 26 mars 2009
Ce film m'a empli de grâce : la vie de Séraphine est dure et besogneuse, tragique sur la fin, mais elle atteint l'éternité en communiant avec la nature, en parcourant les collines venteuses, en pétrissant les marais à la recherche de ses"petits secrets", en paressant au creux d'un arbre. Sa symbiose avec l'Elément naturel produira une oeuvre étrange, mystique que son hôte allemand va découvrir, à la faveur d'une remarque si étrange venant d'une modeste Putzfrau : " Monsieur a une bien belle écriture". Non vraiment, ce film n'a rien d'ennuyeux, ni de convenu, ni de redondant : c'est une belle oeuvre de cinéma, aux couleurs somptueuses et délavées, à la musique élégante, aux personnages dessinés avec force. La dernière scène du film est bouleversante et particulièrement réussie : voir le regard de Séraphine transfiguré par la vision du jardin d'Eden qui lui avait été ignominieusement soustrait est encore la marque du talent de Yolande Moreau. Merci pour ce film.

Publié le 16 novembre 2008
L'office de tourisme d'Oviedo, la cité de toutes les tentations selon W. Allen, doit se frotter les mains...car cette radieuse cité espagnole a littéralement été placée sur la carte à l'occasion de ce film et parvient à damer le pion à la mythique Barcelone ! Pour le reste, quelle déception et quelle fadeur, ce film m'a laissé indifférent sur quasi tout son déroulement, les personnages ne sont pas attachants et où est passé cet indicible humour de la fastueuse période new-yorkaise de Woody Allen ? Je ne suis pas de ceux qui estiment que le tournant pris dès Match Point dans la carrière de Woody Allen fut comme une seconde naissance. On ne rit plus guère.

Publié le 26 septembre 2007
La référence, il fallait bien sûr comprendre " 28 jours après", avec Cillian Murphy qui ne s'est d'ailleurs pas compromis dans cette suite inutile.

Publié le 26 septembre 2007
Navrant. C'était navrant. J'ai quitté la salle à De Brouckère dimanche à 23h, avant la fin, alors que le père infecté tentait d'infecter son fils "réfugié" dans un hangar " sécurisé"de l'Isle of Dogs...Je regrette, c'était du n'importe quoi et l'original "28 semaines après" reste une référence. Mais pourquoi la critique a-t-elle encensé ce film...c'est un mystère.

Publié le 25 avril 2007
En réponse à grail2001 le boucher de Kampala n'a pas fini ses jours en Palestine ( il faut passer par Israël pour y entrer et après ce qui s'est passé à Entebbe...ils n'étaient guère en bons termes ) mais bien en Libye avant de finir ses jours...en Arabie saoudite ( il s'était converti à l'islam ).

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