cinemacinema2006

Jeremi Szaniawski
  • Membre depuis le 23/10/2006
  • Nombre de critiques : 95
Publié le 9 décembre 2003
Je lui mets 'excellent' car c'est un beau film très émouvant, pas pour ses qualités cinématographiques intrinsèques, qui elles, certes, ne sont pas extraordinaires. Mais les deux gamines sont absolument ADORABLES, et puis ça fait du bien de voir un film qui parle un peu de ce que la vie est en vérité... Mais qu'est-ce que je raconte, moi?

Publié le 1 décembre 2003
Du cinéma comme on en fait plus. Pupi Avati est un esthète, on côtoie la photo viscontienne et les illustrations de manuels scolaires italiens. Rien à redire sur cette comédie douce-amère. Pas un chef d'oeuvre, mais quand même bien meilleur que la majorité des films actuellement à l'affiche.

Publié le 1 décembre 2003
En fait, plus une expérimentation qu'un film à proprement parler. Mais ça vaut la peine, pour peu qu'on ait l'envie d'être confronté à une histoire à la structure extrêmement défamiliarisante. Certaines scènes, cela dit, sont sublimes, mais ça ne suffira pas à faire trouver son public à ce film aux antipodes du commercialisme... A tel point qu'à certains moments on se demande si Haneke ne le fait pas un peu 'exprès', un cinéma dont le but serait d'être vu par le moins de monde possible. Or je ne pense pas que cela soit la vocation de l'art, et surtout pas du septième art. Uniquement pour les intellectuels (qui apprécieront dans la douleur) et les petits bourgeois qui aiment être épatés à doses de fétichisme du temps présent, voire du temps 'mort'. veulent

Publié le 1 décembre 2003
'Félix Faure voulut être César, il ne fut que Pompée'. Une des superbes répliques d'un film truculent et plein d'émotions, à mi-chemin entre des thèmes réalistes durs et le conte de fée. Une version longue canadienne existe. On attend le DVD avec impatience!

Publié le 1 décembre 2003
Avec ce film et 'Gerry', Gus Van Sant apparaît comme un des seuls réalisateurs américains capable d'apporter du neuf en provenance des USA. Un film fort intéressant et captivant, n'en déplaise à ceux qui le considèrent prétentieux et ennuyeux. Simplement, c'est au spectateur de travailler. Avec sa tête. Chose à laquelle les productions US ne nous avaient plus tellement habitué ces derniers temps (suivez mon Matr... pardon, mon regard).

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