Harry Potter et l'ordre du Phénix

Titre original: Harry Potter and the Order of the Phoenix
Origines:
  • États-Unis
  • Royaume-Uni
Genres:
  • Aventure
  • Fantastique
Public: Tout public
Année de production: 2007
Date de sortie: 11/07/2007
Durée: 2h18
Synopsis : Harry, à peine revenu à Hogwarts pour entamer sa cinquième année d’étude, découvre qu’une grande partie de la communauté des sorciers met en doute son honnêteté. En effet, beaucoup ont été amenés à croire que la récente rencontre de l’adolescent avec le maléfique Lord Voldemort n’était qu’un mensonge. Pire encore, le ministre de la Magie, Cornelius Fudge, a nommé un nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal, la perfide Dolores Umbridge. Mais le cours de magie défensive du Professeur Umbridge, avalisé par le ministère, se révèle incapable de préparer les jeunes sorciers à affronter les menaces des Forces des Ténèbres. À la demande de ses amis Hermione et Ron, Harry décide donc de prendre les choses en main. Il réunit en secret un petit groupe d’étudiants, baptisé "l'Armée de Dumbledore", pour leur enseigner comment se défendre contre les Forces du Mal et préparer ces courageux collégiens à l’extraordinaire combat qui les attend...
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    6.7/10 36 votes - 32 critiques
  • 7.5/10  Cote de DH.be du film Harry Potter et l'ordre du Phénix

  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film Harry Potter et l'ordre du Phénix

Avis des internautesdu film Harry Potter et l'ordre du Phénix

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Publié le 28 juillet 2007
Bof bof... J'y suis allée poussée par mon jeune fils de 9 ans.. Il est vrai que je n'ai pas lu le livre, mais pour moi, l'histoire manque de consistance. Sans les effets spéciaux, il ne ressemblerait à rien. Et Daniel Ratcliffe (Harry Potter) est devenu bien trop grand pour ce rôle. Autant il était mignon dans le premier film, autant il apparait peu doué devenant adulte. Aucune émotion ne traverse son visage aussi tristounet que celui de Cécilia Sarkozy..

Publié le 27 juillet 2007
Bon. Sorry je ne fais pas partie du fan club, je n'ai pas lu un seul roman du petit magicien balafré. Je ne me base donc que sur les films. Après les 2 premiers volets guimauves signés Columbus, j'ai failli jeter l'éponge. Puis, le grand Cuaron m'a redonné envie de me replonger dans la série avec le "Prisonnier d'Azkaban" qui reste pour moi, de loin, le meilleur Potter. Je n'ai pas trop accroché au récit de "la coupe de feu" et maintenant voilà que débarque "l'Ordre du Phoenix"! Même si l'univers de J.K Rowling est plaisant, je ne parviens pas à ressentir la moindre émotion!! Est-ce dû à l'énormité de l'histoire à condenser en 2 heures? Au jeu approximatif de Radclife? A la forme du récit sans surprise ( tout se règle toujours par un grand combat final!)...Je ne sais pas trop. Toujours est-il que la franchise CINEMATOGRAPIQUE de Harry Potter me laisse froid. Et pourtant, je ne suis pas de marbre! Un regard attendri de Gandalf, la fillette s'enfuyant dans le Labyrinthe de Pan, l'arbre de la Vie traversant une nébuleuse lointaine dans "The Fountain"...Tout ça me retourne et me donne la larme à l'oeil. Mais ici, rien! Nada! Trop de ketchup américain et pas assez de sauce anglaise? Pour moi, la cuisine ne prend pas. J'en suis stupéfié.

Publié le 27 juillet 2007
Je mets 10 à ce film car sa réalisation est vraiment parfaite! L'histoire est assez respectée (évidemment, il y a des éléments qui ne sont pas dedans mais il faut bien faire tenir le livre dans un film de 2h!) et les effets spéciaux ne sont vraiment pas mal. Ce film est le meilleur de tous les Harry Potter. Je le conseille à tous les fans. Juste une précision: si vous n'avez jamais lu ou vu un Harry Potter, cela ne sert à rien d'aller le voir, vous n'y comprendrez rien. C'est peut être "pour enfant" mais c'est pas con du tout! La connaissance des 4 histoires précédentes est primordiales.

Publié le 26 juillet 2007
Attention, coup de gueule à venir. Navrée pour la longueur, mais force m'est de réhabiliter l'ensemble du travail après avoir lu tant de mécontement. Ayant personnellement évité l'erreur de me replonger dans le livre juste avant la séance, je me suis épargnée la déception de tenir la comptabilité des éléments négligés. Par contre, il est hardu voire impossible de suivre l'entièreté du récit sans s'initier préalablement à l'univers de notre petit sorcier à besicles tant les détails foisonnent. Il est certainement dommage qu'un novice peine à suivre avec un minimum d'intérêt. Mais ne serait-il pas totalement ridicule de faire un film pour la minorité ne connaissant pas le contexte? Je suis étonnée qu'on puisse perdre son argent à aller voir un épisode central d'une série et ensuite perdre son temps à le démolir si on en ignore la teneur. Et puis quel plaisir de laisser les privilégiés retrouver à la faveur d'un arrière-plan (la Statue au Ministère), de personnages secondaires (Percy Weasley, Creacher) ou d'une phrase sybilline des éléments dont eux seuls peuvent saisir la portée? Les grandes lignes de ce 5è tome porté à l'écran: à Poudlard, Dumbledore est conspué par le Ministère de la Magie, Harry s'improvise professeur de Défense contre les Forces du Mal sous la totale réprobation de la Grande Inquisitrice Dolores Ombridge, dépêchée par le Ministère pour imposer son diktat dans l'école. Sombre et triste voire cruel et sadique (Staunton-Umbridge est positivement dé-tes-table), le film l'est sans aucun doute mais très exactement à l'image du livre. Qu'à cela ne tienne, Rowling, à l'instar de bien d'autres auteurs de littérature dite "pour enfants" a choisi de faire vivre à des jeunes ados des aventures terribles et éprouvantes. Pour ceux que ça choque, il leur serait sage d'éviter les "Royaumes du Nord" de Pullman, qui n'a rien d'une fable enfantine acidulée! Rapellons également que plus on avance dans le récit, plus les livres gagnent en inventivité autant qu'en complexité, chaque chapitre regorgeant de trouvailles lumineuses nées d'une imagination enchanteresse... Proportionnellement, les adaptations peineront par conséquent toujours davantage à se hisser à leur hauteur. En tant que saut périlleux risqué, celle-ci reste appréciable compte tenu du nombre d'éléments-clés avec lesquels il fallait jongler. Sans oublier la portée didactique et les parallélismes avec l'Histoire, assez fidèlement rendus dans cet épisode: la montée d'une forme de fascisme, l'infiltration sournoise au sein de la hiérarchie, le pouvoir unilatéral de décision, les méthodes extrémistes de contrôle, l'instauration d'un système basé sur la délation et les expéditions punitives, les notions de race pure, la résistance alliée, les rafles d'identification et d'interrogatoire... On se croirait en plein W.W. II sous le régime d'un Kapo nazi! De plus, malgré les raccourcis et libertés scénaristiques, la réalisation fourmille d'idées visuelles de toute beauté (la descente au Ministère, les tableaux félins...) Côté ambiance, il faut se faire une raison: féérie et merveilleux du premier opus n'étaient qu'une mise en bouche édulcorée pour un récit de plus en plus douloureux. Côté Casting, Imelda Staunton tire très nettement son épingle du jeu. Car il n'est pas faux que les personnages habituels perdent en consistance (rares apparitions de personnages pivots comme Draco & Snape). Mais, encore une fois, pourquoi revenir sur ce qui est censé être acquis? Newell nous avait lui aussi frustré du fabuleux match de Quidditch en ouverture de "HP and the Goblet of Fire", précisément pour les mêmes raisons: éviter les redondances quitte à charcuter de manière chirurgicale permet d'alléger un tant soit peu une intrigue suffisamment chargée. N'oublions pas qu'il s'agit d'a-dap-ta-tions, jamais tout à fait fidèles pour un tas de raisons pertinentes. De toute façon, comment satisfaire une grande majorité quant on s'attaque à une telle merveille: les lecteurs sont forcément déçus, les novices se retrouvent perdus dans ce labyrinthe de données, les fans se sentent grugés à la plus infine incision, les puristes s'étranglent à chaque altération ... Je doute néanmoins que n'importe quel tâcheron apprenti-réalisateur soit capable de venir à bout d'un feu d'artifices d'une telle intensité inspirée. Quant à ceux qui déplorent le jeu de Daniel Ratcliffe et consort, sachez tout de même qu'ils sont très proches des personnages originaux, ne vous en déplaisent: une Hermione boudeuse et râleuse, un Ron peureux vaguement bênet, eux-même obligés de tirer et pousser un Harry torturé par des doutes incessants. Dans le genre agaçants, pas obligatoirement les héros auxquels on s'identifie volontiers. Un peu comme notre Frodo Baggings qui ne serait probablement jamais parvenu jusqu'au Mount Doom sans la loyauté courageuse de son solide ami Samwise Gamegie. D'ailleurs, pour en revenir aux similitudes entre ces incontournables romans , bien sûr qu' il est impossible de nier qu'elles pullulent: Doby et Creacher rappellant furieusement les deux faces du fourbe Smeagol-Gollum, les grands mages mentors que sont Dumbledore et Gandalf, Voldemort et Sauron cherchant à récupérer tous deux leur puissance destructrice au moyen d'objets trompeusement insignifiants, les mortelles aranéides Arachné et Aragog, les Dementors qui ressemblent étrangement aux Nasguls, la cape d'invisibilité en guise de Mythril, l'affrontement avec un affreux Troll des Mines de la Moria jusque dans Hogward, le pseudo Ent démoli par la voiture moldue des Weasley,...Mais outre ces références flagrantes, il est difficile de taxer Rowling de plagiat étant donné l'originalité inventive propre dont elle fait preuve! Attendu la difficulté hasardeuse de l'exercice, je me garderais bien de démolir les louables efforts de David Yates pour limiter les dégâts, inévitables lors de la transposition à l'écran d'un livre d'un millier de pages à la phantasmagorie foisonnante. Une certaine indulgence est de mise pour apprécier le spectacle bardé de dialogues confus supposés nous permettre d'ingurgiter un rythme de dix informations à la minute. Sachez qu'aucune modification d'importance n'est à déplorer malgré la quasi-absence de Rowling cette fois sur les plateaux de Leavesden. Le tournage du Tome 7 ne devrait donc en aucun cas souffrir des modifications que certains se montrent si prompts à vilipender. Parole de Moldue, qui s'est empressée de dévorer en quelques 10 heures les 600 pages de "Harry Potter and the Deathly Hallows".

Publié le 25 juillet 2007
On est bien loin des premiers films tirés des aventures d'Harry Potter. Les héors ont (beaucoup) grandi, se posent de plus en plus de questions sur le bien et le mal, et le côté magie gentille est de moins en moins présente. J'ai trouvé que le film était assez sombre, moins facile à comprendre que le bouquin - on a l'impression qu'il manque quelques scènes - mais il y reste l'usage de la magie qui reste toujours très surprenant. Les effets spéciaux sont réussis, c'est sans doute l'essentiel pour les amateurs du genre.

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