Les Invasions Barbares

Origines:
  • Canada
  • France
Genres:
  • Comédie
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 2003
Date de sortie: 01/10/2003
Durée: 1h40
Synopsis : Les jours de Rémy sont comptés. Louise, son ex-femme, appelle d'urgence leur fils, Sébastien, qui vit à Londres. Après avoir hésité à venir, celui-ci fait tout son possible, dès son arrivée, pour adoucir la fin de Rémy.
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    8.8/10 56 votes - 60 critiques

Photo du film Les Invasions Barbares

Avis des internautesdu film Les Invasions Barbares

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Publié le 18 novembre 2003
Mmmmh, le pied. Des acteurs d'enfer. En fait, tu prends ce qu'il y a de mieux chez Lelouch et chez Woody Allen et t'obtiens un chef d'oeuvre comme celui là. Et puis cette capacité à émouvoir la où tu ne t'y attends pas du tout. Genre la nana qui refuse d'être payée pour être venue voir son prof à l'hopital. Seul petit bémol (mais c'est pour rire) parfois l'accent Canadien est un peu too much et je me suis surpris à lire discrètement les sous-titres flamands pour comprendre....

Publié le 17 novembre 2003
Un pur chef d'oeuvre d'émotion. Pas d'autres commentaires que merci Denis Arcand

Publié le 12 novembre 2003
Ce film fait l'appologie d'une génération d'enfants trop gâtés qui a fait Mai 68 pour manifester son mépris de ses parents (religion, idéologies, ...) et qui méprise également ses enfants (invasions barbares). On nous en présente avec emphase un prototype qui atteind des sommets d'égocentrisme. Y a-t-il dans le flux de critiques positives ci-dessous quelqu'un qui n'en fait pas partie ?

Publié le 12 novembre 2003
Omar, moi j'ai 30 ans, je n'ai pas connu mai 68 et je conchie mai 68. Pourtant ce film est m'a vraiment beaucoup plu pour toutes les raisons exprimées par les autres posteurs mais aussi parce qu'il critique intelligement les gars de mai 68. Bien à toi,

Publié le 11 novembre 2003
Un petit chef d'oeuvre d'émotion. Une ode à la vie à travers la mort qui vient...Quelques scènes d'anthologie et le rire qui fuse et qui très vite est rattrapé par des larmes irrépressibles. Denis Arcand est délicieusement anarchisant et rien ne résiste au scalpel de son ironie - la médecine publique, le syndicalisme, les intellectuels post soixante-huitard que nous sommes, les yuppies de la City, le clergé - et de son ludisme. rien, si ce n'est la richesse des êtres avec leurs lâchetés, leur tendresse, leur soif inassouvie de vivre toujours, de vivre pour vivre, de vivre pour aimer, de vivre pour se tromper et se tromper encore. Au bout du voyage, il reste le goût doux amer de l'inachevé et l'envie de tout recommencer... Qu'il bon que ce cinéma existe, il est acte de résistance, il est amour de la vie.

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