Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde

Titre original: Pirates of the Caribbean: At World's End
Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Aventure
Public: Tout public
Année de production: 2007
Date de sortie: 23/05/2007
Durée: 2h48
Synopsis : Will Turner et Elizabeth Swann sont alliés au Capitaine Barbossa dans une quête désespérée pour libérer le Capitaine Jack Sparrow du piège à capturer les âmes que représente le coffre de Davy Jones – tandis que le terrifiant vaisseau fantôme, le Hollandais volant et Davy Jones, au service de la Compagnie anglaise des Indes orientales, écument les sept mers. Bravant les trahisons et les mers hostiles, nos héros font voile vers l’exotique Singapour pour affronter le très rusé pirate chinois Sao Feng. Alors qu’ils se dirigent vers les confins de la terre, chacun va devoir choisir son camp pour la dernière bataille, un affrontement titanesque où se joueront non seulement leur vie et leur fortune mais l’avenir même de tous les pirates épris de liberté.
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    6.4/10 40 votes - 42 critiques
  • 2.5/10  Cote de lalibre.be du film Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde

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Avis des internautesdu film Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde

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Publié le 5 juin 2007
Si je vous dis qu'on en a pour son argent, ce n'est pas pour souligner la finesse du scénario ou le talent évident des interprétations en présence. Il a fallu justifier - auprès des familles notamment - le prix du ticket donc on a un film de presque 3h avec des effets spéciaux à tout va, des décors qui renvoient à un parc d'attractions et des costumes de choix. Le reste, n'est qu'une bouilli indigeste qui procure une nausée tenace. Je me demande comment vont les enfants pour s'y retrouver dans les dédales invraisemblables de cette histoire, après une heure j'ai arrêté d'essayer de comprendre et je me suis juste enfoncé dans mon siège en soupirant au temps qui passe.

Publié le 4 juin 2007
Passez votre chemin; c'est presque aussi nul que Rocky 6, mais on s'y ennuie une heure de plus.

Publié le 3 juin 2007
Heureusement pour Verbinski, le ridicule ne tue pas. Lui non plus d’ailleurs : il sait si bien ressusciter à l’infini ses personnages ! Mais à force de mariner dans la même bouillabaisse, on finit par se prendre une indigestion de bipèdes marins. Les canonnades perpétuelles évitent l’endormissement du spectateur mais le film tourne en rond dans son maelström, lâchant au compte-goutte des explications abracadabrantes à nos fébriles interrogations. Chaque protagoniste vient nous refaire son petit numéro, en plus cabotin si possible et la fin du film laisse présager, hélas, une suite. Reste à prier les dieux de la mer pour qu’ils trouvent enfin de vrais scénaristes !

Publié le 1 juin 2007
Fou-rire nerveux alors que le générique de fin défile sous mes yeux. Comment une idée initialement brillante nourrie d'audace et de panache a pu se métamorphoser en parade grand-guignolesque à l'issue du troisième volet ? Déjà que le second semblait atermoyer, écartelé entre l'épique et le lugubre. Mais celui-ci enfonce définitivement le clou du maugais goût. Pour preuve, les premières minutes se révèlent éloquentes: une scène de pendaison massive et exemplaire, qui tente de désamorcer le drame d'un gag du plus mauvais aloi qui soit (le coup du baril, c'était vraiment censé amuser la galerie?). Pourtant, on ne peut pas dire que l'ensemble vogue en eaux creuses: une pléthore d'acteurs confirmés, une boîte à surprises en guise de scénario, des FX impeccables, un son étourdissant.... Mais voilà, l'immense talent de Johnny Depp ne parvient pas à camoufler l'absurdité de ses apparitions (interprétant dans le même plan Jack Sparrow, sa conscience et son ego, ou se dupliquant à l'infini...); pallier à la carence initiale d'idées en début de tournage en truffant par la suite le récit d'inventions incessantes, de traîtrises à la pelle et d'intrigues en domino finit par dilapider notre patience attentive; quant à ce festival de faces hideuses, visages grimaçants, dents gâtées, peaux vérolées, appendices répugnants, à la longue il harrasse plutôt qu'il n'arrache. Restent la musique, toujours efficace mais bien en deça de ce qu'un Zimmer peut composer, quelques Guest Stars (petit rôle pour le génial Chow Yun Fat et grande apparition tant attendue de Keith Richards avec le riff de guitare en prime) et un spectacle toujours aussi démesurément grandiose. Mais je ne digère pas le sort funeste qu'il réserve à certaines figures phares de la série. Et je dépore qu'à grands renforts de pitreries douteuses et de farces macabres, Gore Verbinski sabre son film jusqu'à le faire sombrer corps et biens dans des aberrations abyssales. Il est grand temps de baisser pavillon Moussaillon!

Publié le 1 juin 2007
Un film à succès qui estlong, tiré en longueur. J'ai adoré le 1, détesté le 2 et le 3 , bien que mieux que le deux, me laisse indifférente. Vraiment à voir.... uniquement par les fans, pas si autrement...

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