Le Diable s'habille en Prada
Titre original: The Devil Wears Prada
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genre:
- Comédie dramatique
Année de production: 2006
Date de sortie:
25/10/2006
Durée: 1h50
Synopsis :
Si la mode est un royaume, Miranda Priestly en est sans aucun doute la reine. A New York, son magazine, Runway, fait et défait les tendances au gré de ses pages et de ses avis souverains. Tyrannique, hyper fashion, fascinante et redoutée, Miranda fait trembler tout le milieu. A priori, Andy Sachs, jeune et brillante diplômée, pas vraiment accro aux marques, n'avait pas le profil pour intégrer ce milieu ultra fermé. Et pourtant, elle va décrocher le job dont rêvent des milliers de jeunes femmes à New York : devenir l'assistante de Miranda. Andy envisage son nouveau travail comme un tremplin vers une illustre carrière de journaliste. Mais celle qui pensait que la mode était un monde de légèreté et de charme va découvrir que l'enfer est peut être bien sur terre.
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5.0/10 Cote de du film Le Diable s'habille en Prada
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5.0/10 Cote de du film Le Diable s'habille en Prada
Avis des internautes du film Le Diable s'habille en Prada
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Publié le 13 octobre 2006
Un très bon divertissement.
Rien de brillant mais la garantie de passer un excellent moment de détente. Après tout... c'est souvent pour ça qu'on va au ciné, non ?
Publié le 6 octobre 2006
Alors qu’il est présenté comme une comédie satirique et acide sur les milieux de la haute couture, ce film se veut avant tout une démonstration un peu poussive sur l’ambition humaine, de celle qui vous fait acérer les griffes et perdre l’intégrité. Déjà la trame est simpliste.
Pour arguer cet exercice le choix scénaristique repose sur deux personnages. L’une à son zénith tendant à la déchéance, Miranda, célèbre rédac en chef d’une revue de mode, l’autre fraîchement sortie de l’école qui mettra en berne principes et scrupules au profit d’une ascension fulgurante. Le contexte de la mode n’étant qu’une toile de fond, l’action aurait pu se situer aussi bien dans l’univers politique ou celui des affaires.
Si techniquement parlant la mise en scène de David Frankel s’avère plutôt inspirée et rythmée, il en est tout autre quand il s’agit d’approfondir son sujet.
L’aura de Miranda est parfaitement dépeinte jusque dans ses contradictions. Le trait aurait pu être forcé, plus de vacheries, de tics… Mais l’on aurait sombré dans la caricature. Ce que l’on évite. Le caractère est trempé, juste ce qu’il faut et nuancé par ses fêlures. Il faut avouer que cette réussite tient à l’impressionnante prestation de Meryl Streep en diva du business.
Le personnage d’Andrea est plus critique et nettement moins cerné. Anne Hattaway, excellente dans Brokeback Mountain, se débat comme elle peut avec un rôle qui ne sort pas des conventions et sombre parfois dans la niaiserie.
Mais si l’on ne porte à ce film qu’une dimension de divertissement pur et dur, on prend un certain plaisir à le regarder. D’autant plus que les deux actrices sont secondées à merveille par un trio de seconds rôles charmants. Stanley Tucci subtil en attaché de presse un peu précieux, Adrian Grenier découvert dans Havard Story s’impose en beau ténébreux et Emily Blunt se révèle être une découverte avenante.
Publié le 30 septembre 2006
Habitant à quelques kilomètres de la frontière française, j'ai eu l'occasion de voir ce film cet après midi.
Film assez rigolo, bien tourné et personnages attachants!
Malgré tout, je trouve que cela reste un film sympa mais pas inoubliable.
J'ai bien ri, j'ai passé un chouette moment mais cela n'a pas transformé ma journée.
Je le conseille à toutes les personnes voulant se détente. Vous sortirez de la salle souriant!
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indiana