Lady Chatterley
Réalisateur:
Origines:
- France
- Belgique
Genres:
- Drame
- Romance
Année de production: 2006
Date de sortie:
07/03/2007
Durée: 2h41
Synopsis :
Dans le château des Chatterley, Constance coule des jours monotones, enfermée dans son mariage et son sens du devoir ? Au printemps, au coeur de la forêt de Wragby, elle fait la connaissance de Parkin, le garde-chasse du domaine. Le film est leur histoire. Le récit d’une rencontre, d’un difficile apprivoisement, d’un lent éveil à la sensualité pour elle, d’un long retour à la vie pour lui. Ou comment l’amour ne fait qu’un avec l’expérience de la transformation.
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7.5/10 Cote de du film Lady Chatterley
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2.5/10 Cote de du film Lady Chatterley
Avis des internautes du film Lady Chatterley
Publié le 11 mars 2007
Une déception : un film très lent, parfois ennuyeux, beaucoup trop long (durée). L'histoire reste assez superficielle, on n'y croit pas vraiment. La psychologie des personnages et le contexte sociologique sont très sommaires; Quelques jolis plans sur la nature, le beau visage de l'actrice, mais cela ne vaut pas le déplacement.
Publié le 6 mars 2007
Choc, “Lady Chatterley” est élu meilleur film et son actrice élue elle aussi ; non pas comme meilleur film mais comme meilleure actrice, faut suivre. Il était temps, que le génie de Just Jaeckin soit reconnu et que celle qui fit monter l’érectomêtre français à coup d’attouchements timides et d’autosatisfaction manuelle en classe affaire, Sylvia Kristel soit enfin honorée comme il se doit. Pour rappel, Just Jaeckin représente ce qui se faisait de mieux dans le cinéma français érotico-bourge 70/80 (soit un cinéma relativement neuneu présentant du bout de sein timide et du popotin flou). Emmanuelle (1974), Histoire d'O (1975), Madame Claude (1977), Le Dernier Amant romantique (1978), Collections privées (1979), Girls (1980), Lady Chatterley's Lover (1981) et Gwendoline (1984). Face à tant de Chef d’œuvres, il fallait inévitablement que les Césars rendent hommage à Just Jaeckin et Sylvia Kristel. Et que dans la foulée, qu’on glorifie enfin l’autre génie du flou artistique et des sous-vêtements vaporeux et immaculés. Celui qui découvrit Emmanuelle Béart et lui offrit le seul rôle qui vaut la peine dans sa malencontreuse carrière ; si l’on excepte “La Belle Noiseuse” (qui est à la carrière d’Emmanuel Béart, ce que “Mes nuits sont plus belles que vos jours” est à la carrière de Sophie Marceau, soit un film chiant compensé par de très long frontal) et une couverture pour “Elle”. Honneur soit rendu à David Hamilton et à “Premiers Désirs”.
ReChoc., “Lady Chatterley” est élu meilleur film et son actrice élue comme meilleure actrice. Les Césars se trompent de film, Le “Lady Chatterley” récompensé n’est pas l’œuvre précité, mais un sombre film mettant en scène une de ces femmes dont on suppose qu’elle mettent des maillots une pièce. Marina Hands s’évertue à ne jamais traduire un seul degré d’érotisme, ce qui semble pourtant être le but, vu le roman dont il s’inspire et qui pourrait se résumer à : “une petit bourge coincée un garde-chasse = du cul”. Soit 30 ans de cinéma Dorcel. Marina court sous la pluie en compagnie d’un Charles Ingals assez peu fourni, et vu les proportions du gaillard, on se dit qu’à part courir, Marina n’aura pas grand-chose à faire d’autre. Marina résume donc à elle seule toute la proposition d’un sexe intelligent, soit une femme inexpressive et sans forme s’amourachant du côté sauvage d’une bite prolétaire et poussant ce qu’elle croît être du vice à se représenter garnie de fleurs. John B Root, sauve nous !
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Zou