Le Jour d'après
Titre original: The Day After Tomorrow
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genres:
- Science-fiction
- Action
Année de production: 2003
Date de sortie:
26/05/2004
Durée: 2h05
Synopsis :
Le climatologue Jack Hall avait prédit l'arrivée d'une nouvelle période glaciaire mais n'avait pas imaginé qu'il la vivrait... Un changement violent dans le climat déchaîne les éléments: innondations, grêle, tornades et températures jamais atteintes menacent la Terre entière. Jack tente de convaincre le Président des Etats-Unis d'évacuer immédiatement une partie du pays pour sauver les millions de personnes qui sont en danger, dont son fils, Sam. Quand le garçon se retrouve isolé dans la ville de New York, la température très en-dessous de zéro, Jack entame un périple contre la montre pour le sauver.
Avis des internautes du film Le Jour d'après
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Publié le 6 juin 2004
S’il y a un phénomène qui m’horripile, c’est le continuel ressentiment de l’audience à l’égard du cinéma américain. S’il faut savoir reconnaître que Hollywood est passé maître dans l’art de servir du surfait pour grand publique, du cliché et du réchauffé à outrance, il faut en revanche savoir ne pas systématiquement rejeter toute production émanant de Hollywood et ainsi sombrer dans un anti-américanisme mal placé qui ressemble davantage à un effet de mode en matière de pensée cinématographique, voire à de l’extrémisme pur et simple, plutôt qu’un de l’esprit critique aiguisé dont on ne dira jamais assez de bien. A force de jeter la pierre à tout-va, comme en témoignent maintes critiques acerbes et souvent trop passionnées publiées ici, on finit par se montrer aussi étroit d’esprit, pour ne pas dire absurde, que le « grand public », celui qui écarte en masse toute réflexion cinématographique pour embrasser fiévreusement les plaisirs exaltés, mais finalement insipides du grand spectacle. Avec ce dernier film d’Emmerich, il faut savoir critiquer avec juste mesure, apprécier le travail accompli et déceler le message qu’il a tenté d’instiller dans la conscience commune, puis seulement savoir en souligner les faiblesses ou « questions de détails », auxquelles d’aucuns ont abondamment recours pour donner un semblant de substance à leurs critiques. Comme on l’a dit, Emmerich que l’on connaît pour avoir mis à l’écran la fiction assez rocambolesque et surenchérie d’une invasion extraterrestre, a visiblement voulu conférer à sa production un propos plus réfléchi tout en usant dans une certaine mesure – que chacun a le droit d’apprécier différemment – les techniques d’effets spéciaux les plus modernes que l’on associerait volontiers aux films à grand public. Dans notre cas, Emmerich a su traiter son sujet avec assez de brio pour ne laisser personne indifférent. Rejeter avec véhémence les impressions d’impuissance, d’affolement et peut-être de culpabilité qu’Emmerich est parvenu à faire naître dans le cœur de son audience, qu’elle soit américaine ou européenne, est tout simplement passer stupidement à côté d’un moment de cinéma qui, au-delà d’une promotion commerciale tapageuse et toujours regrettable, a le mérite de faire parler de lui. Ce non seulement pour les questions que « Le jour d’après » soulève (peut-être trop sommairement, mais enfin Emmerich ne s’est jamais vanté d’avoir voulu faire dans le documentaire philosophique voire apocalyptique) mais encore pour les réactions d’effroi, ou à l’inverse d’indifférence, que la vision dans l’ensemble abominablement cohérente de notre futur, peut susciter de manière générale. Parsemé d’allusions qui ressemblent fort à des piques dirigées contre l’administration Bush et l’indifférence générale américaine vis-à-vis de problèmes environnementaux consternants, Emmerich a pu, il est vrai, lésiner assez regrettablement sur le scénario, qui bascule occasionnellement dans le cliché et la romance typiquement hollywoodienne, autant qu’il a pu donner aux catastrophes naturelles des proportions démesurées, que les puristes minutieux s’empresseront de fustiger. C’est cependant une manière comme une autre, qui risque hélas de ne pas plaire aux amateurs de cinéma intelligemment pensé, de tirer la sonnette d’alarme pour tous les types d’audience sans pour autant tomber dans la catégorie des classiques films-catastrophe, ni dans celle des films érudits qui risquaient de passer inaperçu, et encore moi dans la catégorie des documentaires-reportages où Michael Moore a si bien su se distinguer. « Le jour d’après » a certes ses bémols, mais il ne mérite certainement pas d’être mis au pilori de manière aussi catégorique. La preuve : on en parle encore
Publié le 5 juin 2004
LA-MEN-TA-BLE !!!!!! On m'avait dit que c'était pas terrible, mais à ce point !! Dans la salle, les gens riaient de la stupidité de ce film !! Gros film américain bien stupide pour nourrir des cerveaux bien vides !!
Publié le 5 juin 2004
On reconnait facilement ici le passage de Roland Emmerich grâce aux innombrables effets spéciaux qu'il avait déjà mis dans Independence Day et Gozzilla.Ce qui en fait un film à voir absolument malgré un scénario plutôt faible.Mais il est bien connu qu'effet spéciaux et bonne histoire ne sont presque jamais rassemblé dans un même film.
Publié le 4 juin 2004
Je suis allé voir le film pour avoir une bonne dose d'action de d'effets spéciaux et je dois dire que j'ai été très bien servi ! Un bon divertissement pour tous les amateurs de film catastrophe.
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toutoune