J'ai bien aimé.. c'est plus pour un public ado en effet mais c'est bien tourné.. On se demande ce que va augurer la suite. Les 'menaces' sont pas mal du tout dans le genre. Pas mal.. Cela fait penser un peu à 'sa majesté des mouches' de William Golding.

Vivement la suite ! Un film pour ados et ados attardés comme moi... :-) A voir si on aime le genre, c'est bien ficelé, bien réalisé...

Adapté d'un best-seller de littérature "young adult" comme Hunger games ou Divergenr, The Maze runner ne révolutionne pas le genre puisqu'on y retrouve ses thèmes récurrents : société alternative dans un futur proche, division en castes, règles rigides afin de maintenir l'ordre établi, personnage principal héroïque et casseur de codes, révolte grondante. Donc, si vous n'aimez pas ce type d'univers, n'y allez pas. Dans le cas contraire, vous ne serez pas décus car ce Labyrinthe remplit son contrat. Rhytme soutenu, tensions, élans de bravoure, bel univers visuel et un récit qui progresse comme un métronome puisque toutes les trois minutes, un évènement, une révélation ou une trouvaille vient ponctuer l'histoire. Certes, on n'évite pas quelques dialogues poussifs et des flashbacks patauds, et les bribes d'explication révélées à la fin paraissent faciles et vite expédiées (peut-être était-ce mieux développé dans le livre). Mais sinon, on ne boude pas son plaisir, on assiste à la transition au cinéma de Dylan O'Brien, acteur de série au très bon potentiel, et on apprécie l'ingénieux procédé qui consiste à mettre le spectateur au même niveau que le héros puisque ce dernier débarque amnésique dans la clairière et n'en sait dès lors pas plus que nous sur le nouvel univers dans lequel il est projeté, ce qui facilite l'identification puisqu'on réfléchit en même temps que lui. La curiosité dont il fait preuve est contagieuse puisqu'on a déjà hâte de voir où nous mènera le deuxième opus de cette nouvelle franchise...

Adapté d'un best-seller de littérature "young adult" comme Hunger games ou Young adult, The Maze runner ne révolutionne pas le genre puisqu'on y retrouve ses thèmes récurrents : société alternative dans un futur proche, division en castes, règles rigides afin de maintenir l'ordre établi, personnage principal héroïque et casseur de codes, révolte grondante. Donc, si vous n'aimez pas ce type d'univers, n'y allez pas. Dans le cas contraire, vous ne serez pas décus car ce Labyrinthe remplit son contrat. Rhytme soutenu, tensions, élans de bravoure, bel univers visuel et un récit qui progresse comme un métronome puisque toutes les trois minutes, un évènement, une révélation ou une trouvaille vient ponctuer l'histoire. Certes, on n'évite pas quelques dialogues poussifs et des flashbacks patauds, et les bribes d'explication révélées à la fin paraissent faciles et vite expédiées (peut-être était-ce mieux développé dans le livre). Mais sinon, on ne boude pas son plaisir, on assiste à la transition au cinéma de Dylan O'Brien, acteur de série au très bon potentiel, et on apprécie l'ingénieux procédé qui consiste à mettre le spectateur au même niveau que le héros puisque ce dernier débarque amnésique dans la clairière et n'en sait dès lors pas plus que nous sur le nouvel univers dans lequel il est projeté, ce qui facilite l'identification puisqu'on réfléchit en même temps que lui. La curiosité dont il fait preuve est contagieuse puisqu'on a déjà hâte de voir où nous mènera le deuxième opus de cette nouvelle franchise...

Film qui se veut dans la ligné d'Hunger Game, traitant de jeunes enfermés au milieu d'un labyrinthe et devant s'échapper. Bon, l'idée de base est pas mal. Après ... c'est d'un froid, d'un inerte, du sens âme de bout en bout. En plus des incalculables incohérences, absurdités, on ne trouve aucun sens à ce que nous voyons ... pire, le secret révélé semble un deus ex-catedra total ... Fan se SF, je regrette d'avoir perdu du temps à le regarder.