Shame

Origine:
  • Royaume-Uni
Genre:
  • Drame
Année de production: 2011
Date de sortie: 11/01/2012
Durée: 1h39
À partir de 16 ans
Synopsis : Brandon est un trentenaire new-yorkais, vivant seul et travaillant beaucoup. Son quotidien est dévoré par une seule obsession : le sexe. Quand sa soeur Sissy, chanteuse un peu paumée,arrive sans prévenir à New York pour s’installer dans son appartement, Brandon aura de plus en plus de mal à dissimuler sa vraie vie...

Posters du film Shame

Photos du film Shame

Actualités du film Shame

Michael Fassbender, l’acteur le plus "hot" du moment - Entretien

Après “A Dangerous Method” la semaine dernière, Michael Fassbender est à nouveau éblouissant dans “Shame”. On le retrouve également à l’affiche de “Jane Eyre”.

Avis des internautes du film Shame

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Publié le 17 février 2012
Dés les premiers plans, l'ambiance est donnée... Graphiquement superbe, le film se déroule avec force grâce à l'interprétation incroyable des acteurs... Entre chocs et émotions, le réalisateur parvient à marquer durement les esprits... Ce film est un chef d'oeuvre.

Publié le 16 février 2012
Un choc ! Le film vu il y a déjà deux semaines vit toujours dans mon esprit.. Enfin du cinéma non prémâché !! Svp, chers camarades internautes, si vous n' avez pas compris ce film, pourquoi lui mettre une côte aussi basse ? Comme l' a très bien décrit JPS, le sujet n' est pas le sexe ou la honte mais bien un tableau de notre société individualiste, consumériste, et tout à l' instant où on le veut.. La bande son et les " images " sont également bluffant.

Publié le 8 février 2012
suicide moral du frère par son refus de toutes relations "réelles" avec une femme, descente aux enfers de sa soeur pour aboutir à un ènième essai de sacrifice de soi-mème.... un sujet facinant traité de manière magistrale. difficile de ne pas penser à cette relation ambigûe d'amour profont qui parfois peut lier frère et soeur dans un amour commun et défendu ... un film qui laisse pas indifférent .

Publié le 6 février 2012
Je m'aperçois que sur ce forum beaucoup n'ont pas "compris" ce film qui n'associe absolument pas sexe et honte comme j'ai pu le lire dans le commentaire précédent. Le film parle de narcissisme, de course à un hédonisme "éffrené" et du plaisir égoiste qui limite fortement toute forme d'émotion. Tout cela peut se traduire à travers une addiction au sexe comme celle que subit le personnage principal. Voilà, c'est un fait sociologique établi, ça ne prête pas à contestation. A côté de ça, y a plein de gens qui sont accros au sexe et qui le vivent très bien mais ce n'est pas le sujet du film!!!!!!! Sinon tout est dit dans l'article de la Libre Belgique dont je partage totalement l'avis comme beaucoup de gens d'ailleurs: "A nouveau, McQueen filme dans "Shame" le long corps du comédien irlandais, non plus ici décharné, mais musclé, travaillé, sculpté... Cette fois, Fassbender incarne Brandon Sullivan. La trentaine exubérante, habitant un petit appartement chic, ce parfait yuppie new-yorkais bossant à Wall Street pourrait faire tomber toutes les filles. Pourtant, sa vie privée est organisée autour de prostituées à domicile, de séances de masturbation sur Internet, de coups d’un soir avec des inconnues draguées dans des bars ou le métro Rongé maladivement par des pulsions sexuelles insatiables, c’est plus encore quelqu’un incapable de s’engager émotionnellement avec quiconque. Même avec sa sœur Sissy qui s’invite un jour sur le canapé de son salon. L’arrivée de la jeune femme, chanteuse aux tendances suicidaires, fait ressurgir un passé douloureux et fait voler en éclats l’équilibre précaire de l’existence bien réglée de Brandon. De ce passé, on ne saura rien. La force du cinéma de McQueen réside, en effet, dans son observation physique, froide et sans pudeur. Refusant la psychologie, il se concentre sur l’image, filmant un corps et ses pulsions, accumulant les scènes dures, crues, pour montrer la descente aux enfers et la faillite émotionnelle d’un être perverti Abordant un sujet contemporain très osé, McQueen le fait en moraliste, conduisant son héros vers une forme de rédemption. Il ne s’agit, ceci dit, pas pour le réalisateur de le juger lui, mais bien de condamner le monde dans lequel il évolue, qui l’a forgé. Celui de la communication exacerbée, mais de l’incommunicabilité des êtres, de la pornographie à portée de tous, du tout, tout de suite, etc. Ce n’est pas pour rien que "Shame" se déroule à New York, symbole de la mégapole occidentale contemporaine. Une ville de cinéma que le Britannique filme avec passion, captant l’énergie de ses rues pour la transmettre à son personnage. Incapable de se poser pour profiter de ce que la vie peut lui offrir, trop occupé à courir après des désirs formatés et imposés. La critique de "Shame" s’étend, en effet, à l’ensemble de la société, le sexe n’étant ici qu’un bien de consommation parmi d’autres. Magnifique directeur d’acteurs, McQueen offre un nouveau rôle fort à Fassebender. Mais il confirme aussi le talent de la jeune Anglaise Carey Mulligan, déjà vue dans "Public Ennemies" ou récemment dans "Drive". Fragile, déchirante, elle crève l’écran dans "Shame". Notamment dans cette scène pivot où Sissy offre à son frère une version ralentie à l’extrême de "New York. New York", cri de douleur d’une profonde mélancolie. Où McQueen confronte deux êtres solitaires, détruits par la vie, mais qui y répondent de façon opposée : submergée par l’émotion pour l’une, la refusant pour l’autre. Malgré quelques excès de style dans sa mise en scène ultraléchée et l’une ou l’autre facilités scénaristiques dans son final, "Shame" reste un film brillant. Le premier grand choc de 2012."

Publié le 28 janvier 2012
Chouchou souhaitait mon avis sur ce film…. Voilà, j'y suis allée! J'ai suivi tout le film et je ne vois toujours pas ce qu'il y a de terrible à la situation… de quoi cet homme doit avoir "honte". Branlette MatinMidiSoir, des films pornos sur son ordi et une pute de temps à autre; voilà à quoi se résume une bonne partie du film. Euh, oui et alors! C'est probablement le cas de beaucoup de gens et il ne porte pas le mot "Shame on you" sur leur front. Pourquoi associer sex et honte? On a raté qqechose dans mon éducation? Pff, cette Amérique puritaine Une musique profonde, énigmatique…, on sent le suspens dans le métro et … rien ! Un jogging interminable dans les rues de New York juste pour se fatiguer! Une scène supposée "hard" ne donne qu'une non-œuvre artistique , il fallait bien mettre un peu de c… mais dans quel but? Il a fallu plus de 1h avant qu'on effleure le sujet prétendu du film. Il parait que ça s'appelle de la subtilité! Au fond, on parle de choses sans intérêt sauf du sujet prétendu du film. Respect aux acteurs quand même , on retrouve(ra) très rapidement Mickael Fassbender cette année. Heureusement, le film ne dure qu'une heure!

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