Soeur Sourire

Origine:
  • Belgique
Genres:
  • Biopic
  • Drame
Année de production: 2009
Date de sortie: 06/05/2009
Durée: 2h00
Tout public
Synopsis : « Sœur Sourire » est une histoire émouvante basée sur la vie d’un personnage historique passionnant, Jeannine, jeune fille belge devenue en 1961 une nonne composant et chantant un succès mondial « Dominique, nique, nique… ». Le drame de cette jeune femme devenue « Sœur Sourire », c’est l’amour ; Jeannine Deckers recherche le meilleur moyen de donner à d’autres l’amour qu’elle n’a hélas pas reçu de sa mère. Elle se lie à Annie, mais quand celle-ci tente de se rapprocher sentimentalement, elle s’enfuit. Elle rêve d’évasion, de partir en Afrique comme missionnaire. Devant l’impasse familiale, elle se réfugie au couvent. Dans un moment de bonheur, elle compose « Dominique » , que l’Eglise utilisera pour rajeunir son image. Cette chanson devient un tube mondial…
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    7.4/10 9 votes - 9 critiques
  • 2.5/10  Cote de DH.be du film Soeur Sourire

  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film Soeur Sourire

Posters du film Soeur Sourire

Photos du film Soeur Sourire

Avis des internautes du film Soeur Sourire

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Publié le 12 mai 2009
Superbe interprétation de Cécile de france. Film émouvant. A voir.

Publié le 10 mai 2009
Assez moyen, finalement. Il me semble que celui qui ne connaissait pas la vie de Soeur Sourire avant d'avoir vu le film ne la connaît pas mieux après. trop d'éléménts capitaux ne sont qu'à peine effleurés et rendent le film incompréhensible. Le contexte potiqiue n'est pas expliqué. Il faut savoir qu'à l'époque où elle s'adressait au ministère des finances pour trouver un arrangement pour payer ses impôts dont elle n'avait pas le premier sou, le gouvernement de l'époque (Martens-Gol) a fait la sourde oreille, alors qu'il donnait des milliards aux multinationales pour qu'elles s'installent ici. Ce film bénéficiant du tax-shelter, ceci explique peut-être cela. Ensuite, beaucoup d'anachronismes, tant tant dans le décor que dans les dialogues. Très dommage. Cécile de France sauve l'affaire, heureusement.

Publié le 10 mai 2009
"Sœur sourire" ne restera pas comme le chef d'œuvre de Stijn Conincx. Là ou "Daens" brillait par un climax dramatique bien en rapport avec son sujet, et qui agrippait le spectateur par un ton "vrai", ce film ne parvient jamais vraiment, en dépit de sa bonne volonté, à susciter chez le spectateur un engouement émotionnel à l'égard de son personnage central. On peut en rendre responsable le manque manifeste de moyens financiers, criant à l'écran où les plans rapprochés servent presque à masquer le simplisme des décors, mais je pense plutôt que la raison première est à trouver dans la manière un peu trop superficielle dont le metteur en scène donne vie à Sœur Sourire. Le portrait laisse flotter un certain malaise, en ce qu'il est ostensiblement trop consensuel que pour paraître vraiment sincère et représentatif de ce que le personnage était vraiment. Certes, on voit une femme au caractère trempé et rebelle à l'autorité, mais dont on cerne mal les faiblesses et les lacunes de maturité, qui auront participé en finale aux conditions de sa lente descente aux enfers. De celle-ci, d'ailleurs, le film se montre avare en détails. Au point qu'à défaut de connaître l'histoire de Sœur Sourire, le spectateur peut s'interroger sur les circonstances qui l'ont conduite à son drame final. L'ellipse narrative faite sur les 10 dernières années de sa vie, résumées en quelques minutes, est en effet assez peu compréhensible. Alors que le film s'attarde dans des longueurs parfois inutiles lors de la période avant et dans le couvent, on aurait aimé assister à l'exposé objectif de son parcours des dernières années, marquées par l'insistance d'un fisc grappilleur, un clergé sourd à ses supplications et une lente déchéance dans l'alcool et la dépression. De tout cela, hélas, nulle mention, hormis au cours d'une scène tardive empreinte d'un comique limite surréaliste, qui constitue la seule allusion aux démêles fiscaux du personnage. Un bon film, donc, servi par de bons acteurs, et qui tente de rester fidèle à son sujet, mais qui évite simultanément par un choix systématique toute écharde à l'image de celui-ci. Or l'ambivalence de Sœur Sourire aurait gagné à être transposée de façon plus sincère à l'écran. Seul regret pour un bon moment de cinéma malgré tout.

Publié le 6 mai 2009
Sans Julie, le film ne serait pas ce qu'il est. Je n'ai rien à y ajouter, mais c'est déjà énorme. Courez vite le voir, et ne zappez pas le générique de fin !

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