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Publié le 12 avril 1999
à propos de
Pi
tres etrange sentiment a la sortie du film.il y reside une atmosphere bizzare durant tout le ilm.l'hstoire est bizzare aussi,on ne comprend pas tout.mais j'en suis sorti enchanter de decouvrir les premiers GRAND pas de darren aronofsky qui pour moi ira loin car il y a du lynch la dedans
Publié le 11 avril 1999
à propos de
Elizabeth
Courez voir ce film pendant qu'il est encore à l'affiche. Voici l'histoire méconnue d'Elizabeth dans les premières années de son règne : alors belle, libre et aimant un homme (interprété par Joseph Fiennes, superbe à tous points de vue). Vous comprendrez comment cette femme hors normes est devenue le personnage (à la fois magnifique et pathétique) abondamment reproduit dans les livres d'histoire : parce que sa liberté lui importait plus que tout au monde, à une époque où être belle et aimante ne lui ouvrait que la perspective d'être manipulée par des hommes.Cate Blanchett est bouleversante en Elizabeth, sans sacrifice aucun à la mièvrerie facile (cfr Gwyneth Paltrow dans Shakespeare in love).
Publié le 11 avril 1999
à propos de
Urban Legend
Un panoplie d'effets spéciaux comme seuls les américains peuvent ne produire. Film avec beaucoup de violence apparente, mais dont on rit volontiers. L'intrigue est quant à elle fort bien écrite, et il est effectivement difficile, à un moment donné, de pronostiquer la clef de l'affaire !
Publié le 11 avril 1999
à propos de
La Ligne rouge
Chère Isabel Saavedra, Tu as déjà tout dit... J'ajouterai simplement : - qu'il s'agit du film que Jane Campion aurait pu faire sur le sujet; - que lorsque l'on meurt à 18 ans sur un champ de bataille, cela n'empêche pas de sentir les chauds rayons du soleil filtrer à travers les arbres et de se sentir léger, en partance vers l'Ailleurs (?), tout en serrant la main d'un copain. Cette scène vaut à elle seule la vision de ce film. Elle résume à la fois l'absurdité de la guerre et l'insensé espoir qu'il est nécessaire d'entretenir à propos de la nature humaine. Il y a longtemps déjà que j'ai vu ce film et pourtant je conserve à l'esprit le souffle de tendresse à l'égard de la Nature (dont l'homme fait partie) que cette oeuvre comporte.
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cédric rosenbaum