scarface
scarface
- Membre depuis le 14/05/2006
- Nombre de critiques : 68
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Publié le 10 mars 2010
Toute la verve visionnaire de Tim Burton s'exprime dans cette adaptation d' Alice in Wonderland. Visuellement, c'est foisonnant et très réussi. Mais en voulant sans doute en faire un peu trop, Tim Burton s'éloigne sensiblement de l'univers poétique de l'oeuvre de Lewis Carroll pour se rapprocher davantage de celui de JK Rowling. Ce n'est pas gênant si vous avez aimé les premiers épisodes d'Harry Potter au cinéma, ce l'est un peu plus si vous pensez retrouver la magie et l'émotion de "Charlie et la chocolaterie".
Publié le 2 mars 2010
Magnifique ! Le thème de l'homosexualité a rarement été traité au cinéma avec tant d'intelligence, tant de sensibilité (sans mièvrerie), tant de pudeur (sans puritanisme exacerbé).. Colin Firth, oscar du meilleur acteur ?? Ce ne serait certes pas un scandale ! A noter que les 3 personnes qui m'accompagnaient à cette séance partagent le même enthousiasme.
Publié le 18 février 2010
Avec un scénario savamment étudié et une expérience de bénévolat dans le milieu carcéral, la jeune réalisatrice a construit un premier film brillant et déjà très mûr. Elle est servie par une équipe de comédiens épatants et très convaincants. (Bientôt les césars...on croise les doigts pour Pauline Etienne). A voir !!
Publié le 10 février 2010
J'ai adoré le roman d'Alice Sebold. Je le pensais impossible à adapter au cinéma. Peter Jackson l'a fait en restant très fidèle à l'esprit du livre et c'est assez réussi. Les images de "l'autre monde", saupoudrées d'effets spéciaux mesurés, sont plutôt belles. Pourtant, au niveau de l'émotion, quelque chose ne passe pas.. Peut-être parce que l'écrit, tel un livre à colorier, obligeait le lecteur à puiser dans son imaginaire pour y apporter ses propres couleurs et qu'au cinéma, le spectateur n'a d'autre choix que d'admirer les images qui défilent sur la toile ? Peut-être parce que la personnalité de Ruth Connors, personnage clé du roman, n'est ici qu'effleurée ? Le film a donc beaucoup de qualités visuelles mais les lecteurs d'Alice Sebold resteront sans doute un peu sur leur faim.
Publié le 10 février 2010
Présent lors de l'avant-première au Vendôme, le réalisateur Frédéric Dumont souhaitait humblement que son film laisse "quelques traces".. Pari réussi car, c'est certain, son film très courageux et sans concessions ne peut laisser personne indifférent. Olivier Gourmet est (une fois de plus) extraordinaire dans le rôle très difficile du père maniaco dépressif et que dire du jeune Martin Nissen qui porte le film sur ses frêles épaules.. Profond et bouleversant !
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