pekka

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Publié le 29 août 2008
Je comprends que les ados soient énervés et éprouvent des pulsions agressives après une paire d'heure passée sur un jeu vidéo. Je suis sorti de la séance avec les nerfs en pelote!... Ce n'est effectivement qu'un long jeu vidéo, pas très esthétique, très répétitif et sans véritable enjeu narratif. Les épisodes de Dragon Ball Z étaient plus sophistiqués, c'est dire!... A réserver aux irréductibles de la série, et encore, car on n'y apprend rien de rien qu'on ne sache déjà sur la saga et ses personnages (ils ne font que de la figuration dans un déluge de tirs lasers et autres boum-boum). Lucas, à la casse!...

Publié le 28 août 2008
Il y a une analyse éclairante de Monsieur André Gunthert sur la portée du film à l'égard de l'après 11-09, sur le site 'actualités de la recherche en histoire visuelle' (blog du Laboratoire d'histoire visuelle contemporaine de l'EHESS). Si ça vous intéresse.

Publié le 28 août 2008
Je ne pense pas que j'irai voir ce film. Je viens de lire un interview de Kassovitz qui déclare qu'il déteste son film ("rien que violence et stupidité"), sauf quelques scènes et l'énergie qu'il dégage. Il déplore avoir eu de mauvais producteurs et partenaires, et que tout ce qu'il avait apprécié dans le livre de M. Dantec et voulu mettre dans le film a disparu du résultat final. Est-il sincère ou veut-il cracher dans la soupe et se dédouaner, vu les mauvaises critiques?... C'est quelqu'un que je n'appréhende pas très bien.

Publié le 27 août 2008
Tragi-comédie de qualité servie par un panel d'acteurs brillants, dont la moindre n'est pas la débutante Louise Bourgoin, véritable révélation dans le rôle délicat d'une coucheuse arriviste à la fois incroyablement vivante et miroir implacable de la nouvelle vulgarité biberonnée à la télé-réalité, 'La Fille de Monaco' échoue hélas à atteindre ce qui était pourtant à sa portée: la comédie noire hitchcockienne. La faute en est à une fin bidouillée, qui galvaude la complexité et les sous-entendus inquiétants d'un scénario intelligent avec mise en abyme de trios amoureux. Reste un excellent divertissement pour qui apprécie l'humour distancié que suscite les performances gourmandes de Lucchini, Balibar, Bourgoin et R. Zem.

Publié le 27 août 2008
Sorry, triangles amoureux et non 'trios'. Il y a nuance!

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