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Pierre Coërs
  • Membre depuis le 26/05/2006
  • Nombre de critiques : 24
Publié le 23 février 2014
critiques de la DH incompréhensible. Excellent film cohérent, bien fait, bien pensé, avec de multiples thèmes qui se croisent : la culture et sa pérennité, la fidélité, la solitude parmi les hommes, la responsabilité, la difficulté d'être différent, ... et bien sûr la musique, l'importance des arts, de la nature, quand on vit des siècles et que l'accessoire perd de l'importance. Parfait sujet, parfaite exploitation du parti pris. P l

Publié le 6 mai 2012
Essentiel Il est des films qui touchent à l’esentiel. Parmi ceux-là il en est qui ont trouvé le raccourci narratif pour le rendre encore plus proche, tangible et mystérieux. C’est le cas de Melancholia, qui parle de notre condition de mortels, de nos constructions sociales, de notre construsction personnelle sur fond d’un scénario, d’une double mise en situation qui se révèle révélatrice : un mariage (quoi de plus emblématique de nos choix, nos codes, nos organisations sociales) suivi pas à pas, « de l’intérieur », et une menace de fin du monde qui plane et finalement se réalise (quoi de plus « vrai » que l’inéluctable que cette menace véhicule). Melancholia : un must parmi ces films où l’histoire a la valeur universelle d’un conte : 2001, la guerre des étoiles, docteur Jivago, Mon nom est personne, l’arbre de vie, Fidler on the roof, l’échelle de Jacob, Mathilda …j’en passe

Publié le 26 février 2012
Il vaut mieux avoir lu le bouquin avant ! (ce que je n’avais pas fait !) Génial John Le Carré. C'est complexe et la réalisation emmêle volontairement le spectateur. Je n’ai donc pas compris non plus. On comprend des bribes, on tente des liens. Mais a voir la vue d’ensemble est impossible. Extraordinaire reconstitution de l'atmosphère voulue par Le Carré : incertitudes, lenteur, souvent échecs. Caricature mais véridique du monde de l’espionnage, de l’atmosphère et des comportements à l’est, Les décors valent de l’or : chaque détail de ces années-là est en place : armoirs, vêtements, stylos, poubelles, grafitis, rues et bâtiments. Incroyable. Un vrai voyage. Les espions vivent une vie de clair-obscur. Pour mémoire, c’est Le Carré qui s’est fait un procès avec une firme pharma pour son roman (et le film) : « La patience du jardinier » Pierre Coërs

Publié le 23 janvier 2012
incroyablement émouvant. L'homme filmé au plus près de l'âme et de la difficulté d'être, de l'effort pour vivre et pour se situer dans un monde qui change forcément. Pierre Coërs

Publié le 19 novembre 2011
si le sujet de Intouchables vous attire, et même sinon, allez voir tout de suite et soutenez 1000 fois "Hasta La Vista". Une histoire d'amitié et de road movie entre 3 jeunes handicapés qui veulent vivre...Le cinéma dans ce qu'il a de meilleur : raconter une histoire, émouvoir et réchauffer le coeur, étonner par la justesse. En plus on rit !

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