motardblond

motardblond
  • Membre depuis le 15/04/2007
  • Nombre de critiques : 90
Publié le 18 mars 2009
Pas vraiment convaincant. Le cinéaste se serait-il trompé d'histoire ou comment occuper l'écran en se basant sur un non-fait. Vu le tointoin des médias lors de cet incident, André Téchiné ne risquait vraiment rien. Le film semble s'égarer entre faits et ragots de l'Histoire, entre réalité économique et son cortège de dégâts collatéraux et problèmes familiaux très communs, sans dévoiler le fond de ce pataquès médiatique comme s'il était prisonnier d'un nœud qu'il ne parvient pas à défaire. Les premiers rôles sont en ligne et les meilleurs prestations reviennent aux seconds couteaux, Ronit Elkabetz et Nicolas Duvauchelle. En somme, le film est à l'image du fait divers : peut-être était-ce l'objectif ?

Publié le 9 février 2009
PEF a foiré. D'autres aussi direz-vous ? Après "essaye-moi" ceci est une incontestable déception. La Foresti écrase littéralement le film et son manque de naturel enlève toute crédibilité. Bref, peut mieux

Publié le 9 février 2009
Voilà une comédie fort plaisante. Pas de gags hilarants mais une trame de fond comique qui ne se dément pas tout au long du film. Un scénario pas vraiment génial et un pitch de départ qui annonce une petite comédie passe-partout. Et pourtant ça donne une bonne tranche de rire. C'est trash, le duo Seann William Scott et Paul Rudd est excellent et les personnages sont très attachants. Bref, un bon film.

Publié le 4 février 2009
Perplexité est bien le maître-mot généré par ce film où se fourvoye Catherine Deneuve. Est-ce rapport à Françoise Dorléac ? Est-ce du cinéma politique ou de la politique de cinéma? Ce film s'enfonce plus dans un passé que dans un avenir peut-être difficile et réduit les libanais à la figuration, un comble. Bref, ??

Publié le 26 janvier 2009
Clair de lune n'est pas clerc de notaire; ne confondons pas le politiquement correct et une complaisance pour des sujets (trop) faciles ou stéréotypés. Perso, je dis que le premier est entière subjectivité et la complaisance est une faille dans un bon film. J'y fais allusion notamment dans Big City ou Hunger. Quant au cinéma indien, ce qui était vrai pour ce prodigieux Salaam Bombay de Mira Nair, est obsolète aujourd'hui tout comme Dickens et consorts sortis de leur époque. Cordialement.

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