cdc

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Publié le 24 novembre 2016
Effroyable. Je renvoie à ma critique du film à l'époque : http://revereveille.over-blog.com/
article-potiche-61128126.html
Voilà un film à fuir comme la peste, un des très rares navets d'un cinéaste vraiment doué qui nous a régalés par contre d'un bijou improbable et aussi casse-gueule, "8 femmes". Mais là, il ne s'est pas planté.


Publié le 21 novembre 2016
Un film extrêmement intelligent d'un auteur majeur du cinéma français - parfois capables des pires navets, voir "Potiche" ou même "Jeune et jolie".
Il y a de tout dans ce film où Ozon s'est amusé comme un fou, cueillant tout ce qu'il fallait chez Demy ("Demoiselles de Rochefort", avec, justement, D. Darrieux), Agatha Christie, Hitchcock (le tableau de Louise sur un fond vert tiré de "Vertigo"), Resnais ("On connaît la chanson") et puis plein d'autres, jouant sur des couleurs hurlantes et des actrices débitant des lieux communs et jouant comme dans les années trente...
Superbe, français dans ce que cela signifie de meilleur, et dieu sait que le cinéma français ne nous gâte pas...
Publié le 23 octobre 2016
Cinq très jolis contes en courts-métrages, cinq graphismes différents mais chacun apprécié par les petits comme les grands. De 4 à 10 (ou plus) ans, et les adultes aimeront aussi. Nous avons passé 40 minutes de vrai plaisir.
Seule petite restriction venant d'un vieux gronchon, le prix des places, celui des films "normaux" (10€ par adulte et 6.50 par enfant). Pour 40 minutes, c'est un peu cher, mais le spectacle le valait !
Publié le 17 octobre 2016
Film intelligent, bien sûr, pas mal foutu, mais avec des longueurs inutiles (la nackt Party et l'inutile arrivée du patron, le masque roumain ou je ne sais lequel dont la réalisatrice ne sait comment se dépêtrer). Si la fille ne sait comment se "déshumaniser", le père n'est qu'un humain déshumanisé lui-même... Et stupide. C'est cela qui rend le film intéressant. Pas politique pour un sou, ou alors à la marge. Ou alors, tout est politique bien sûr !
Mais formellement plus qu'acceptable, un peu longuissible et patinant.
Tout de même, à voir et à ne pas trop oublier, mais en aucun cas ne voir un chef d'oeuvre comme l'ont claironné certains critiques - dont le fatigant Hugues Dayez, capo di tutti capi de la critique belge...
Publié le 17 octobre 2016
Les critiques n'en finiront pas de m'émerveiller...
Aquarius n'est évidemment pas un film politique sur le surgissement des immondes promoteurs immobiliers, même si, bien sûr, il en est question. Très curieux, nous avons vu ce film avec des amis tous de gauche, ça va sans dire, et ils ne l'ont pas aimé.
Il s'agit plutôt de la chronique depuis 1980 d'une famille de la petite bourgeoisie à Recife, habitant un immeuble du côté chic en front de mer, mais dont ledit immeuble vieillit tandis que la famille s'enrichit convenablement. La protagoniste s'enfonce dans un mal de vivre (et le critique de la Libre Belgique fait le parallèle très juste entre sa mastectomie - qu'il qualifie de vasectomie, ce n'est pas un médecin... - et la perte de son logement), et trouve à la fin un moyen de retrouver l'autorité familiale qui se délitait.
Le tout avec une mise en scène et une image parfois un peu "trop", mais qui contraste tellement avec celles du plan-plan "Victoria".
Trois étoiles, ça ne veut évidemment rien dire et ce film ne franchira pas les décennies, mais c'est un beau moment de cinéma.
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