angeblanc
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- Membre depuis le 26/07/2009
- Nombre de critiques : 7
Publié le 9 juin 2018
Un film agréable à voir, et qui met un visage sur le syndrome d'Asperger, même si celui-ci peut prendre différentes formes. Belle interprétation des deux rôles principaux.
Publié le 7 juin 2018
Un film qui mériterait la palme d'or de la subtilité, de la finesse. Sur un thème douloureux, le déni de la maladie, et le déni de la mort de cette petite fille, le réalisateur enquête et raconte avec délicatesse et poésie cette histoire familiale douloureuse.
Ce genre de film reste confidentiel car son thème ne risque pas d'attirer les foules, et j'y suis allée justement parce que j'ai perdu moi-même un enfant et suis maintenant souvent en contact avec le monde des parents endeuillés.
La situation décrite dans le film, ce double déni, se passerait sans doute différemment aujourd'hui, avec les outils qui existent désormais (psys, groupes de parole, etc), par opposition à l'extrême solitude et isolement que cette femme a connus au début des années 60 face à son drame… Et c'est toute la différence...
Publié le 26 juillet 2017
Je ne vais pas dire que je me suis ennuyée, parce que ce n'est pas le cas... Mais j'ai trouvé dans ce film une accumulation de clichés, un vrai collier de perles... L'une après l'autre... Le beau-père autoritaire (mais ne craignez rien, le gendre va finir par l'envoyer paitre... De là à en faire une scène culte???? On peut finir ses phrases à sa place, tellement c'est cousu de fil blanc), l'ainé qui pensait que son père ne l'aimait pas (et hop, qu'est-ce qu'on trouve dans la veste du père décédé? Une lettre à fendre le coeur: vous avez deviné? Ben oui, son père l'aimait, mais c'est trop tard, il n'a plus que ses yeux pour pleurer), la nostalgie de l'enfance (ah le ralenti sur la balançoire...), etc. Bref, super gentillet. Sans doute une belle promo pour la Bourgogne, ceci dit.
Je sais, je ne suis pas très fleur bleue... ;-)
Publié le 6 novembre 2010
Un vrament beau film, à la fois dépaysant, et intéressant. L'éducation, le mensonge, les valeurs, le décalage entre les générations, la vieillesse, plein de thèmes sont abordés, en finesse, avec pudeur, et souvent avec humour.
Pour ceux qui en ont marre des grosses productions américaines, c'est tout autre chose... On ne voit pas le temps passer.
Publié le 28 février 2010
dieu que je me suis ennuyée.... Y a quelqu'un qui a le sens des formules et qui a dit de ce film qu'il "renouait avec la tradition". Depuis, tout le monde répète ce commentaire d'un air entendu.
Franchement, va falloir que j'aille revoir les vieux Disney de mon enfance pour en être certaine, mais il me semble qu'ils étaient autrement inspirés.
Ici, je me suis presque crue dans un jeu vidéo: bruyant et sans répit. Toujours plus, sinon le spectateur risquerait de s'ennuyer pendant 5 secondes? La psychologie des personnages est inexistante: pas trop compris le revirement du prince, présenté comme idiot, futile, et intéressé, et qui tout à coup, au détour d'un bayou, se réveille amoureux de l'héroine (branchée "travail, famille, patrie".... ), sans qu'on sache très bien pourquoi. Bref, j'ai eu l'impression qu'on nous prenait pour des débiles. En plus, c'est tout juste si on ébauche un sourire entre le début et la fin. Je ne comprends pas le succès de ce film.