Shrek

Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Film d'animation
Public: Jeune public
Année de production: 2001
Date de sortie: 04/07/2001
Durée: 1h29
Synopsis : Shrek, monstre vert, cynique et malicieux, vit en ermite au coeur du marais. Lorsque des créatures féeriques, bannies par le méchant Lord Farquaad, envahissent son Eden glauque, Shrek est bien obligé de leur trouver un asile pour préserver sa solitude. Il conclut un accord avec Farquaad, promettant à ce dernier d'arracher sa fiancée, la gente Princesse Fiona, des griffes d'un abominable dragon. Mais la belle cache un secret encore plus terrifiant, qui va entraîner Shrek et son malicieux compagnon l'âne dans une palpitante aventure...
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    9.6/10 40 votes - 46 critiques

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Avis des internautesdu film Shrek

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Publié le 21 juillet 2001
Une excellente parodie satirique des dessins-animés de ce bon vieux Disney ; cela étant dit je ne pense pas qu’il serait bon d’en sortir trop de cette trempe car il est important que la magie enfantine (et un peu naïve) de ce char Walt subsiste.

Publié le 18 juillet 2001
Je suis entré dans la salle avec mon fils et mes filleuls en me disant 'allez on va voir un film d'animation pour leur faire plaisir' et en traînant un peu les pieds. Je suis resorti de la salle presque aussi enchanté que les bambins. L'animation est excellente et le scénar assez amusant. C'est un film à recommander

Publié le 16 juillet 2001
Film très bien ficelé, intrigue pointue et subtile, quoique déjà fort rabâchée, graphisme haut de gamme, couleurs...flamboyantes, amour...euh, humour acerbe et 'cynique': tout y est pour faire une péllicule qui plaira au plus grrrrrand nombre... Mais j'ai une remarque tout de même: le film baigne dans un racisme et un os(t)-racisme, assez décevant en cette fin de siècle, et ce en particulier envers les personnes de couleur, non pas vertes certes, mais bien de peau noire. Je pense par exemple au traitement très méprisant réservé au prince Gstaad, ou je ne sais plus quoi, au sujet de son problème de couleur de peau. Je sais bien que le film est américain et que ces gens la y connaissent une paille en matière de citoyenneté de 'seconde zone' concernant les noirs, idiens et autres 'animaux' (sic) parqués dans des réserves 'marécageuses', mais tout de même...

Publié le 16 juillet 2001
Etant moi-même affligé de la caractéristique génétique 'bronzée' du prince Paap, c'est à dire étant moins bllllland que la moyenne, je n'ai, en tant qu'être humain sensible au racisme qui refleurit envers les gens de race ou de gênes moins avantageux, pas tellement apprécié que le défoulement syxthémàtiques de potaches, en mal de secte racio-génique suprématiste ou ils peuvent se 'lover' en toute impunité et savourer l'achévement de leur basses oeuvres, commencée dans la cour de récréation et terminée dans la cour des bllllands... Je pense qu'en effet, le portrait que l'on 'tire', à balles fictives comme c'est toujours le cas au début, du prince Faath est rendu très peu flatteur uniquement en employant, chose bizzarre venant de nos coucous hollywoodiens d'habitude très pointilleux quand il s'agit des lettres de noblesse de l'alphabet, des réflexes de 'mâle alpha dominant': si le mauvais est déclaré mauvais, c'est en somme parce que il n'est pas assez gllllland de peau, et que donc la flamme ne lui sera jamais déclarée par aucune 'princesse'. Etrange apprentissage de l'exclusion sociale et affective des êtres affectés d'une 'tare' d'apparence. Je doute fort que les organisations anti-racistes, crées précisément à la suite des tragiques évênements qu'on engendré le même 'genre' de géno-racisme, apprécieront fort le ton adopté dans ce conte cinematographique ma foi fort méchant et assez horrible, car il fait appel à ce à quoi toutes les dictatures au serfvice du Méchant ont toujours fait appel: l'aveuglement autosatisfait des choyés de la nature, qui, tels des mercenaires tueurs tronant dans un champ empli des cadavres de leur victimes, se mettent à rire, flanquent encore un coup de pied (que la vérité ne permet pas de qualifier de bon) à ce qui bouge encore, achêvent par la moquerie et le cynisme ce qui leur rapellerai la leur proverbiale poutre dansl'oeil, et ceci en riant comme ce 'diable vauvert' de shrek.

Publié le 16 juillet 2001
Excuse Francis mais pour voir une connotation raciste dans Shrek, faut vraiment être perturbé par ce phénomène...est-ce que à chaque fois que tu vas voir un film, tu recherches la petite touche raciale ? Je peux comprendre ton point de vue mais dans ce film là...je vois pas. Faut peut être pas être autant parano tu crois pas ?

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