Opération espadon
Titre original: Swordfish
Réalisateur:
Synopsis :
Il existe, au coeur du cyberespace, un monde occulte et mystérieux, protégé par des mots de passe, des systèmes de cryptage et de sécurité réputés inviolables. Un labyrinthe électronique où se dissimulent des secrets d'Etat, des informations hypersensibles et, bien sûr, des tonnes d'argent. C'est le monde d'Espadon. Gabriel Shear, espion richissime et excentrique, a besoin de pénetrer dans ce monde et de s'emparer des milliards de dollars qui y sommeillent pour financer un projet 'politique' de grande envergure. Mais il a besoin, pour cela, d'un super-pirate, capable de venir à bout des défenses informatiques les plus sophistiquées.
Avis des internautes du film Opération espadon
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Publié le 12 août 2006
Un exemple-type du cinéma américain de masse, que les grands studios d' Hollywood produisent à la chaîne depuis l' avènement du "cinéma pur-action" dans les années 70. Un peu à l' image des produits des restaurants fast-food, c' est très bon quand c' est consommé à dose raisonnable, mais lorsque qu' on commence à abuser... En clair, cela signifie qu' en ce qui concerne le scénario, il n' y a absolument rien de vraiment nouveau à y trouver. De même, la mise en scène de Dominique Sena se contente-t-elle d' être correcte et bien rythmée - comme dans tout film d' action qui se respecte -, mais sans plus. Si Travolta, Hugh Jackman et la sensuelle Halle Berry tire habilement leur épingle du jeu, il faut bien avouer qu' aucun d' eux n' a trouvé là un grand rôle à mettre à leur actif. On peut simplement reconnaître au film le mérite de réserver suffisamment de suspense (c' est-à-dire, ici, la "dose normale"), du début à la fin, qui, mélangé aux scènes d' actions ("époustouflantes", cela va presque sans dire) pour rendre le cocktail digérable et appréciable par le plus grand nombre. Sinon, John Travolta, terroriste qui se campe tantôt en défenseur des "valeurs américaines", tantôt en celui d' un certain réalisme et "cynisme" sur le fonctionnement et la mentalité du monde actuel en général, et de l' Amérique en particulier, n' est pas toujours des plus convaincants. On le préfère, et de loin, dans "Pulp fiction" ou "Volte-face".
Publié le 9 novembre 2001
Bien rythmé, l'essentiel est qu'on ne s'ennuie pas une seconde ! Dommage que le réalisateur ait un peu abusé de l'effet 'Matrix' dans la fameuse scène de l'explosion: ça ne le faisait pas, comme on dit. Sinon, je serais curieux de l'avoir en dvd pour voir les conneries que ce type tape sur son ordinateur (enfin, des mots compliqués qui ne veulent rien dire, ça fait toujours bien...) !
Publié le 18 octobre 2001
La seule image qui sauve le film c'est celle de l'explosion de l'otage, le ralenti, la prise en tournant est spectaculaire (c'est sans doute pourquoi il la répète deux fois). Mais le reste est invraissemblable, trop américain, le méchant luttant pour le bien-être américain (il fallait sauver la morale puritaniste). Pas terrible !
Publié le 14 octobre 2001
Ce film est un gros navet, d'actualité sans doute mais c'est quand même une nullité. Filmé avec de belles images chromés comme dans une pub pour alcool, Swordfish ne décolle jamais: absence de rythme, de suspense, faiblesse de la direction d'acteur - Travolta en roue libre - et surtout scénario ridicule car jamais crédible. Exemple: Hugh Jackman dans le rôle d'un hacker qui n'a pas touché un ordinateur depuis 3 ans, doit entrer dans la base de données du Pentagone en une minute, un flingue sur la tempe et une blondasse lui pompant le dard en même temps. Il y arrive bien sûr. Affligeant...
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Marylyn