Le dernier harem

Titre original: Harem Suare
Origines:
  • France
  • Italie
  • Turquie
Genre:
  • Comédie dramatique
Public: Tout public
Année de production: 1999
Date de sortie: 15/12/1999
Durée: 1h46
Synopsis : Au début du siècle, dans le Harem du Sultan Abdulhamit, à la veille de l'écroulement de l'Empire Ottoman, une jeune femme d'origine italienne, Safiyé, scelle un pacte avec un eunuque noir, Nadir. Mus par une relation inavouée d'attirance réciproque, les jeunes gens commencent à cheminer inutilement dans les jeux du pouvoir du Harem.
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    6.0/10 7 votes - 7 critiques

Avis des internautesdu film Le dernier harem

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Publié le 6 janvier 2000
Le dernier harem, Humm........hummmmmm .... Ouais! Déçus, Nous sommes! Du début jusqu'à la fin, le spectateur est en attente. Ce film manque complétement de rhytme. Où est-donc passé le climax ? On a l'étrange impression que les acteurs s'ennuient. On aurait du être ému par l'histoire d'amour prônée par le film mais pas du tout. C'est vraiment dommage et il est vrai que l'atmosphère de la salle dégageait un ennui profond. Que s'est-il passé? l'héroïne principale est sensée être un personnage possèdant une forte personnalité car elle finit par devenir la première femme du harem.....Marie Gillain n'est pas convaincante... trop jeune peut-être??? On n'est pas émus en tout cas. Finalement, On est plus chamboulés par un 'Angélique et le sultan'. Sorry, on n'aime pas casser des films mais là ... on n'a pas trop le choix... Nous pensons que le bas blesse dans la mise en scène du film. Tout le charme de l'orient s'est évaporé dans un film très européen, trop finalement.

Publié le 23 décembre 1999
J'hésite entre 'moyen' et 'bon'. La construction scénaristique faite de flash-backs imbriqués l'un dans l'autre nuit beaucoup à la fluidité du récit. D'autre part, il y a quelques longueurs et, paradoxalement, à d'autres moments, une impression de trop grande abréviation (bref c'est un peu poussif). En outre, même si Marie Gillain est très gracieuse, on a du mal, en raison de son côté un peu trop angélique (alors qu'elle avait été, dans l'Appât, bien plus inquiétante), à croire qu'elle ait réellement pû tremper dans les intrigues, empoisonnements et autres joyeusetés nécessaires en vue de parvenir au faîte de la hiérarchie du harem. Ceci étant dit, le metteur en scène réussit le tour de force du non-voyeurisme tout en dépeignant l'érotisme pouvant caractériser certaines scènes de la vie quotidienne dans un harem. Les images et les couleurs sont belles. On regrette un peu que la perspective n'ait pas été élargie davantage au-delà du personnage joué par Marie Gillain. Agréable à voir néanmoins.

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