The Constant Gardener
Réalisateur:
Origines:
- États-Unis
- Royaume-Uni
Genre:
- Thriller
Année de production: 2005
Date de sortie:
21/12/2005
Durée: 2h06
Synopsis :
Dans une région reculée au Nord du Kenya, Tessa Quayle, une activiste engagée, est retrouvée sauvagement assassinée. Le compagnon de voyage de Tessa, le médecin local, semble avoir disparu sans laisser de trace. Toutes les preuves tendent en direction d'un crime passionnel. Sandy Woodrow, Sir Bernard Pellegrin et les autres membres du Haut Commissariat britannique sont convaincus que l'époux de Tessa, leur collègue placide et introverti Justin Quayle, leur confiera l'affaire. Mais ils ont tort... L'existence paisible du diplomate est chamboulée par l'assassinat de son épouse, à laquelle il tenait plus que tout. Les souvenirs de Tessa continuent à hanter Justin. Et pour la toute première fois de son existence, il prend les choses en main. Justin se lance dans une aventure semée d'embûches. Il veut coûte que coûte tirer l'affaire au clair, disculper son épouse et terminer son 'travail'. Justin entre bien vite en contact avec l'industrie pharmaceutique. Tessa était sur le point de dévoiler un certain nombre de pratiques pour le moins répréhensibles. Justin mène sa quête de la vérité sur deux continents. Et plus il creuse, plus il se rapproche de la vérité : un complot mortel de grande envergure qui a coûté la vie à de nombreux innocents et qui met désormais sa propre existence en péril.
Avis des internautes du film The Constant Gardener
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Publié le 9 février 2008
Beau film même si il y a, par moments, quelques longueurs qui auraient pu être évitées.
Publié le 29 septembre 2006
Il ne faut jamais courrier deux lièvres à la fois… Fernando Meirelles aurait dû s’inspirer de cet adage. Car entre triller politique ou passionnel il n’a su choisir. Ce choix d’un scénario hybride noie le film dans un profond ennui. Le complot pharmaceutique est au cœur du sujet mais la démonstration reste très conventionnelle, manque d’originalité et d’éclat, quant au côté, je venge ma femme, il semble plus tenir des conventions que de la réelle conviction. Ralph Fiennes ne fait rien pour arranger ce constat car on ne l’a jamais vu aussi peu inspiré. Ajoutons à cela quelques magnifiques prises de vue dignes des docus Géo juste pour nous dire regardez comme l’Afrique est un beau pays, et on frise l’indécence. Pour traiter un telle histoire, cela requiert de la rigueur et de la concision. On ne peut se contenter de quelques plans bien amenés vaguement branchouille et d’une humanité de surface. Un point positif quand même, la présence de Rachel Weisz qui affiche une aura lumineuse et se trouve être la seule à qui l’on accorde du crédit dans ce film raté.
Publié le 31 mars 2006
magnifique. acteurs superbes. de la philosophie exprimée en poésie. le titre même, une trouvée géniale.
Publié le 16 mars 2006
Remarquable réalisation qui mèle, entremèle avec tant de sensibilité et d'intelligence une histoire d'amour, un plaidoyer pour l'Afrique, une critique acerbe des enjeux financiers qui lacèrent ses habitants. J'ai été suspendu comme dans un thriller mais ce n'en est pas un, ému par cette histoire d'amour vrai mais ce n'est pas l'essentiel, bouleversé par la puissance universelle du fric, c'est l'essentiel. Mais tout le reste n'est pas là pour faire décor mais pour dire, redire, crier même que pour ce fric, on tue des humains, on piétine sans frémir de l'amour, de la vie. Et puis, cette caméra qui court, saute, glisse donne un joli vertige.
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Bobette