The Constant Gardener

Origines:
  • États-Unis
  • Royaume-Uni
Genre:
  • Thriller
Public: Tout public
Année de production: 2005
Date de sortie: 21/12/2005
Durée: 2h06
Synopsis : Dans une région reculée au Nord du Kenya, Tessa Quayle, une activiste engagée, est retrouvée sauvagement assassinée. Le compagnon de voyage de Tessa, le médecin local, semble avoir disparu sans laisser de trace. Toutes les preuves tendent en direction d'un crime passionnel. Sandy Woodrow, Sir Bernard Pellegrin et les autres membres du Haut Commissariat britannique sont convaincus que l'époux de Tessa, leur collègue placide et introverti Justin Quayle, leur confiera l'affaire. Mais ils ont tort... L'existence paisible du diplomate est chamboulée par l'assassinat de son épouse, à laquelle il tenait plus que tout. Les souvenirs de Tessa continuent à hanter Justin. Et pour la toute première fois de son existence, il prend les choses en main. Justin se lance dans une aventure semée d'embûches. Il veut coûte que coûte tirer l'affaire au clair, disculper son épouse et terminer son 'travail'. Justin entre bien vite en contact avec l'industrie pharmaceutique. Tessa était sur le point de dévoiler un certain nombre de pratiques pour le moins répréhensibles. Justin mène sa quête de la vérité sur deux continents. Et plus il creuse, plus il se rapproche de la vérité : un complot mortel de grande envergure qui a coûté la vie à de nombreux innocents et qui met désormais sa propre existence en péril.
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    8.3/10 75 votes - 77 critiques

Avis des internautesdu film The Constant Gardener

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Publié le 28 décembre 2005
Il ne se passe rien dans ce film, c'est lent et très ennuyant , un film pour les snobs.

Publié le 27 décembre 2005
Je n'ai jamais mis les pieds en Afrique. Mais je suppose que l'Afrique, comme tous les continents d'ailleurs n'est pas une mais multiple. Le réalisateur ne nous dévoile donc qu'un aspect de cette Afrique. Cet aspect est-il caricatural ou non ? On peut quand même penser qu'il y a en tout cas au minimum un fond de vérité dans les propos développés par ce film. Alors, considérer ce film comme une caricature me semble un peu léger.N'est-ce pas plutôt Achille Talon, le vrai, qui se caricature lui-même ? Ceci dit, je suis d'accord avec Indiana quant à la qualité de la réalisation.Mais j'ai plutôt apprécié le film pendant les deux premiers tiers, la fin me semblant malgré tout assez excessive et de ce fait peu plausible à moins que les barbouzes n'aient posé le bon diagnostic quant à l'état mental de Justin Quayle .

Publié le 27 décembre 2005
Ce filmounet, qui est à mille lieues de ne valoir fût-ce que l'ombre du formidable "Ciudade de deus", ne mérite à mon avis ni excès d'éloges ni excès de critiques... Le scénario ne casse pas trois pattes à un canard, mais les images sont souvent très belles et la mise en scène ingénieuse. Les acteurs sont tous excellents, mais ils ne suffisent pas à masquer le fait que le film est plutôt vide, sauf d'incohérences...

Publié le 26 décembre 2005
Belles images de l Afrique, en effet, et deux acteurs principaux géniaux...mais à part ça, un scénario pauvre et surtout beaucoup trop long! Il y a donc les méchants/les gentils, les blancs/les noirs, les riches/les pauvres, le tout servit avec peu de finesse, beaucoup de démagogie et trois tonnes de manichéisme!

Publié le 26 décembre 2005
Film plaisant à regarder mais absolument lamentable au niveau du scénario. Tous les clichés et poncifs débiles sur l'Afrique s' y retrouvent.Ce film fait tellement dans la caricature que cela en confine au racisme.Résumons-nous. D'un côté il y a les noirs pauvres qui sont tellement pauvres qu'ils en deviennent bêtes au point de se laisser exterminer comme du bétail.Ensuite il y a les noirs riches qui ont édifié leur fortune sur les cadavres de leurs compatriotes.En sus on leur donne ue sale tête car il est scandaleux pour un noir d'être riche : cela viole l'imagerie officielle du bon noir africain qui doit nécessairement être pauvre et en guenilles.Enfin il ya les responsables de tout ce drame : les Occidentaux cupides, sinistres, cyniques, lâches et tristes.Mais que le noir pauvre, le noir riche et le blanc cynique se rassurent. La rédemption est là incarnée par la blanche de l'ONG flanquée de son bon médecin noir (en d'autres

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