Dikkenek

Origines:
  • Belgique
  • France
Genre:
  • Comédie dramatique
Public: Tout public
Année de production: 2006
Date de sortie: 21/06/2006
Durée: 1h24
Synopsis : JC est le parfait exemple du Dikkenek belge: frimeur, grande-gueule, Mr. Je-sais-tout. Il ne voit son rêve d'une belle vie sur une plage ensoleillée qu'à travers la vitrine d'une agence de voyages, alors il se contente de donner des leçons à tout le monde. Heureusement, JC est drôle, touchant et émotif aussi. Et un tombeur hors pair, ce qui n'est pas le cas de Stef, son ami de toujours. Tandis que les blagues, la baise, la baston et, avouons-le, le vol de voitures, apportent à JC le bonheur quotidien, la bonne humeur permanente de Stef n'est qu'une façade qui cache son malaise existentiel. La rencontre inattendue de JC avec Natacha, une jolie aventurière, dans le coffre d'une Mercedes sera un tournant pour les deux potes. Débute alors un voyage pittoresque dans la Belgique d'aujourd'hui peuplée de personnages plus frappadingues les uns que les autres...
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    7.0/10 22 votes - 22 critiques
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  • 2.5/10  Cote de DH.be du film Dikkenek

Avis des internautesdu film Dikkenek

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Publié le 15 janvier 2007
Il fallait oser, Olivier Van Hoofstadt l'a fait ! Dépeindre la vie des "dikkenek" Belges, ceux qui se croient tout permis, qui donnent des leçons à tout le monde, friment avec leurs grosses bagnoles et tiennent bien la bière. Alors qu'on pensait que l'humour noir-jaune-rouge grassouillet avait atteint son apogée avec l'excellent C'est Arrivé Près de Chez Vous, DIKKENEK vient affirmer le contraire. Cette comédie corrosive présente une galeries de gueules qu'on aimerait pas trop croiser : entre un patron d'abbatoirs aux hceveux gras; un manager qui se la pète en Ferrari et qui téléphone au cinéma, une prof qui propose de l'herbe à ses jeunes élèves et une caissière vulgaire et bouffeuse de Chitos, il y a de quoi se fendre la gueule pendant presque une heure et demie tant ces barakis (nom Belge pour désigner les "Jacky") nous apporterons de francs fous-rires grâce à un scénario bien écrit et des dialogues piquants voués à devenir culte. La méchanceté inépuisable des hommes donne au film un côté Sartrien car oui, l'enfer, c'est les autres, les dikkenek que l'on croise au coin de la rue et qui se montrent méprisants envers la société pauvre, se présentant comme des assoifés d'argent et de pouvoir. Malgré le fait que nous nous trouvons devant un beau foutoir cinématographique, il est impossible de ne pas aimer ce film certes vulgaire et caricatural mais tellement vrai et provoquant des éclats de rire tellement énorme qu'on ne peut passer à côté.

Publié le 1 août 2006
comme je suis déçu ,j'attendait beaucoup de ce film,un vrai bide . heureusement qu'il y a l'embrouille du moins pour celui qui l'apprécie autrement c'est pas la peine d'allez voir...

Publié le 1 août 2006
Je vous donne mon avis de française à forte affinités belge... Je trouve les commentaires cruels dans l'ensemble.Ce film est très drôle et étant donné que c'est une comédie,elle remplit son rôle à merveille! Que demander de plus? Et d'un autre coté je trouve que c'est positif parce que c'est un travail franco-belge,et qu'il se revendique en tant que tel (cf. le lexique sur le site internet) Bref,chapeau bas messieurs.

Publié le 30 juillet 2006
Nous avons ri de bon coeur du début à la fin. Beaucoup de gens parlent du manque de scénario, personnellement, cela ne m'a pas frappée . Dès le début, il est quand même bien question de trouver une copine à Steph . Les femmes c'est bien une motivation , non ? et puis ce sont des gars qui vivent au jour le jour, de façon pas trop recommandable et nous embarquent dans leurs aventures ..je crois que ça suffit à faire un film . Oui, c'est de l'humour débile, cynique , vulgaire et il y a meme du racisme mais on s'amuse. Je trouve très dommage d'accueillir ce film comme un navet ou un plagiat de ceci ou cela, nos grandes villes sont truffées de Dikkenek de la trempe du film , c'est certain et en faire l'autocaricature est plutôt sain...La belgitude, pour moi, c'est entre autre l'autodérision et le second degré.

Publié le 25 juillet 2006
Une séquence de sketches avec un montage à la "six quat' deux". L'acteur principal (Jean Luc Couchard) a un jeu beaucoup trop proche de Benoît Poelvorde. Il y a heureusement quelques phrases qui deviendront culte...

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