Fahrenheit 911
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genre:
- Documentaire
Public:
Année de production: 2004
Date de sortie:
07/07/2004
Durée: 2h02
Synopsis :
Ce documentaire s'attaque de plein fouet aux problèmes brûlants de l'Amérique. La caméra de Michael Moore filme avec scepticisme le Président George W. Bush et ses propres conseillers. Prenant pour point de départ l'élection controversée de novembre 2000, le réalisateur retrace l'improbable ascension d'un médiocre pétrolier texan devenu maître du monde libre. Puis il ouvre la boîte de Pandore du Président et révèle les liens personnels et financiers qui unissent la famille Bush à celle de Ben Laden. Michael Moore y dénonce également les méfaits du gouvernement et les souffrances provoquées par la guerre en Irak.
Avis des internautesdu film Fahrenheit 9/11
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Publié le 11 juillet 2004
C'est un film qui vaut ce qu'il vaut, mais qui a le mérite de démontrer que si les gens se rendaient compte du pouvoir qu'ils ont pour IMPOSER la démocratie, ils auraient les politiciens qu'ils méritent et ne devraient plus réagir en soutenant des partis sans valeurs...A quand la sortie du film genre Michael Moore 'Supersize me', qui confirme le message qu'une démocratie peut exister si on se donne la peine de la construire..http://supersizeme.com
Publié le 11 juillet 2004
Un film dont la réalité saisit aux tripes, qui donne envie de hurler, de faire quelque chose. Si ce n'était qu'une fiction... mais c'est un documentaire REEL. Ecrivons à nos politiciens, faisons quelque chose! et soutenons cette oeuvre ADMIRABLE!
Publié le 11 juillet 2004
Qu'ajouter qui n'ait été dit! Et pourtant, il faut - c'est un devoir moral - apporter sa petite pierre à la réflexion. Oui, il s'agit là d'un film militant. Non, il ne faut pas pointer du doigt l'un ou l'autre raccourci ou détail moins avéré; cela créerait le risque de diminuer la puissance de la démarche, or: Oui, certaines images parlent d'elles-mêmes: la monstrueuse bêtise du président que se sont choisi les américains (dans les conditions hasardeuses que l'on sait) apparaît avec une évidence qui devrait faire cesser toute critique. Non, il ne s'agit pas d'une charge contre 'les américains'; ceux-ci continuent, bien malaisément, de vivre en démocratie; le simple fait que le film ait pu être réalisé et diffusé l'atteste. Oui, il s'agit de la mise en évidence de gigantesques mensonges d'Etat, de la dénonciation d'un jeu politique, jamais avare de contradictions, qui fait, là comme ici, le lit de l'extrême droite. Oui, bien sûr, Saddam Hussein était un dictateur redoutable et il ne faut pas, derrière le film, dissimuler ses crimes (ce qu'à quelques scènes ambiguës près M. Moore ne fait pas). Oui, Bush, dans un autre registre est au moins aussi nuisible et il faut tout faire pour aider les américains à 'se libérer' de son emprise: sous couvert d'idéaux qu'il salit - la démocratie et la liberté - il crée le chaos, détruit des vies, n'apporte aucune solution, réduit les libertés pour ses propres concitoyens, impose au monde une loi faite de cynisme, d'arrogance et de haine et accroît de façon considérable le risque terroriste qu'il prétend combattre. Cet homme - comme Saddam et tant d'autres - déshonore l'humanité. Il mérite le même sort. Mais le film dépasse largement la personnalité de ce dictateur au petit pied lorsqu'il montre combien la conscription repose sur un système social qui laisse aux plus démunis la charge de porter l'idéal patriotique. Il faut cesser de s'abriter derrière de doctes considérations géopolitiques (n'est-ce pas Monsieur A. Adler) et n'admettre le sacrifice d'enfants que pour de nobles motifs. C'est là que se situe la ligne de démarcation entre barbarie et civilisation. Monsieur Bush est un barbare. Il fallait que cela soit montré avec force. Monsieur Moore l'a fait.
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The frog