Bridget Jones 2: L'âge de raison

Titre original: Bridget Jones 2: Edge of Reason
Origine:
  • Royaume-Uni
Genres:
  • Comédie dramatique
  • Romance
Public: Tout public
Année de production: 2004
Date de sortie: 08/12/2004
Durée: 1h47
Synopsis : Depuis six semaines, Bridget Jones est la petite amie du célèbre avocat Mark Darcy, avec qui elle file le parfait amour. Encore que? En dépit des sentiments que Darcy semble lui porter, Bridget se pose quantité de questions sur l'existence, l'amour, voire même les sous-vêtements... Car ayant enfin trouvé l'homme de sa vie, la voici confrontée à la lourde tâche de le conserver! A peine Bridget a-t-elle ébauché une stratégie, que la concurrence entre en scène, sous les traits de la nouvelle et sculpturale collègue de Mark. Et qui plus est, au même moment, voici que Daniel Cleaver, ancien patron de Bridget et redoutable séducteur, refait surface...
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    6.3/10 61 votes - 62 critiques

Avis des internautesdu film Bridget Jones 2: L'âge de raison

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Publié le 17 décembre 2004
A VOIR!!!!! J'ai beau ri et j'ai passé un agréable moment!!! Courrez, c'est la comédie de l'année!!!!

Publié le 16 décembre 2004
Gentille petite comédie... Mais franchement, faut aimer l'humour anglais. De plus, l'effet de surprises n'y est plus. On se demande juste dans quel pétrin Bridget Jones va encore se mettre. A voir, s'il n'y a rien d'autres ou pour les fans...

Publié le 16 décembre 2004
ce film est une mauvaise suite. tout est prévisible, tout est cliché. en plus c'est cucu, gnan gnan au max. heureusement qu'il ya hugh grant pour remonter le niveau; parce que bridget jones, en plus d'être un thon, est bête et lourde !

Publié le 16 décembre 2004
mon dieu quel ennui..vraiment une suite baclée qui ne surprend absolument pas..vraiment nul...si vous avez comme moi adoré le premier opus, restez sur ce bon souvenir et n,allez pas voir cette suite... Bon une seule bonne feinte, bridget qui pensait que IRAN était la femme de david Bowie..le seul moment ou j,ai ri...

Publié le 12 décembre 2004
Tirer un bon film d'un roman est difficile et périlleux. En tirer un d'un journal intime s'apparente à une mission impossible. Lorsque en 2001 le « Bridget Jone's Diary » est sorti au cinéma, nous étions sceptiques. Et le film valait le livre (Helen Fielding, Le Journal de Brigit Jones, paru en français en poche chez « J'ai Lu »). Le Brigit Jones 2 est encore meilleur (Helen Fielding, Brigit Jones, l'âge de raison, J'ai Lu). Les deux livres ont connu en Grande Bretagne un énorme succès littéraire (1997 et années suivantes). Un Journal digne des éditions Arlequin. Il est évident que ce n'est pas au cinéma que nous verrons Le Journal de Turner, éditions Henri de Fersan) ! Par contre, Carnets de route ou Diarios de Motocicleta, tiré du journal d'Ernesto Chevara, est un très, très beau film et ce n'est pas pour rien qu'il tient l'affiche depuis le début de l'année 2004. Un aspect de celui qui deviendra le « Che » et dont le poster est (avec ceux d'Einstein et d'Elvis Presley) l'un des plus vendus au monde. Que de chambres d'étudiants et d'étudiantes ne décore-t-il pas ! Helen Fielding a ajouté une définition de l'amour à celles de Louis-Ferdinand Céline (L'amour est l'infini à la portée des caniches) et d'Antoine de Saint-Exupéry (L'amour, c'est regarder ensemble dans la même direction) en écrivant « L'amour n'est pas quelque chose qu'on ressent mais qu'on décide ». Au cinéma, Bridget Jones 2 : L'âge de raison de Beeban Kirdron est pour cette période de fêtes de fin d'année un excellent divertissement pour adolescents et adolescentes. L'actrice américaine Renee Zellweger (qui avait pris au moins 10 kilos pour le premier épisode en a pris quelque 25 pour le second) est au meilleur de sa forme dans le rôle principal : chapeau ! Colin Firth reste pareil à lui même dans le rôle de Mark Darcy (rôle plus important dans le film que dans le livre) et Hugh Grant est meilleur dans le rôle d'un patron coureur de jupons que s'il avait été choisi pour celui, plus romantique, du fiancé attitré ! Les critiques des spectateurs suivent leurs a priori : elles oscillent de zéro à cinq, sept et demi, et dix sur dix, du « n'importe quoi » pour la première au « à voir absolument » pour la dernière. Et c'est justice. Tout dépend de l'âge, du degré de culture, du sens de l'humour, des expériences personnelles de chacun et surtout de chacune...

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