Le cinéma francais vit un renouveau, alors évidemment les gens comparent ces qqs grosses productions entre elles. Pour ma part j'ai apprécié ce film, je regrette juste d'en avoir trop vu dans les bandes de lancement. Il n'y plus bcp de surprises, le meilleur est résumé. Sinon, il faut dire ce qui est : c'est une histoire d'amour fraîche, avec un dénouement final original

L'idée de départ est amsuante et aurait pu donner un bon film. Mais cette tendance à vouloir absolument faire du 'Amélie Poulain' gâche tout. Lorsqu''Amélie' est sorti, c'était neuf, c'était frais c'était original, mais ici c'est lourd, indigeste et mal ficelé. Tout est trop. Trop d'effets de caméras, trop d'artifices, trop de dialogues qui sonnent faux. Je me demande en fait comment un réalisateur peut oser pondre un film qui ressemble tant à un autre. C'est lamentable. Tout comme cette manie de vouloir émouvoir à tout prix avec des bons sentiments réchauffés. Et ça ne prend jamais. Ce que j'aime dans le cinéma français d'habitude, c'est la simplicité. Une caméra, un plan simple, et puis uniquement le jeu des acteurs. Ca donne un peu d'air au milieu du cinéma boum-boum pan-pan. Or, avec ce genre de film on constate tristement que même les fims simples se croient obligés d'en rajouter. Un détail qui fait quand même plaisir, c'est de voir un quartier résidentiel de villas typiquement belges, puisque tourné en Belgique. Ca change des cités sinistres à la française. Mais à part ça, je ne vois pas d'autre intérêt au film.

The 'Belge' touch !... Après le moule frite, le 'Ne me quitte pas' du grand Jacques (pas le chocolat !), les vicissitudes d'un petit reporter, le bedon de Louis Michel, le savoir-faire made in 'Plat Pays' s'invite de plus en plus du côté de chez 'Monsieur Cinéma'. Il est difficile, en effet, de ne pas dresser un parallèle, lorque, quelques images faisant, certaines similitudes apparaissent comme une évidence avec des oeuvres de 'chez nous ôtes' : Le huitième jour, Toto le héros..., des exrecices qui en leur temps ont défrayé la dite chronique. Une manière inspirée d'agencer les images, d'intégrer des plans de rattrapage, une manière pour le réalisateur de donner du rythme, de meubler, de modeler une ossature scénaristique plutôt chétive (une histoire d'amitié qui se mue en une histoire d'amour) : un fil conducteur banal maintes fois usité ! Une approche mettant en exergue le 'jeu' des comédiens, saupoudrée d'une palette cinématographique largement influencée par une contrée aux querelles linguistiques légendaires ; le tout accompagné de ce fond social, estampille récurrente chère au vieux continent ! 'La romance d'accord, mais l'enrobage, non !'

question de gout...pas très réaliste mais passez un bon moment a révé quand meme...c'est domage que les bandes d'annonces racontent déjà tout le film...vive la chanson 'la vie en rose'

lorsque vous irez voir ce film, il vous fera certainement penser à amélie poulain et toto le héros. néanmois, 'jeux d'enfants' n'a pas la même force et la même tendresse. on assiste seulement à un échange de défis et rien d'autre. mais je dois avouer que c'est l'histoire d'amour la plus originale du cinéma français depuis quelque temps. en fin de compte, je vous conseille vivement d'aller le voir car il vaut le détour.