Melancholia
Réalisateur:
Origine:
- Danemark
Genres:
- Drame
- Science-fiction
- Thriller
Année de production: 2011
Date de sortie:
10/08/2011
Durée: 2h10
Synopsis :
À l'occasion de leur mariage, Justine et Michael donnent une somptueuse réception dans la maison de la soeur de Justine et de son beau-frère. Pendant ce temps, la planète Melancholia se dirige vers la Terre...
Actualités du film Melancholia
Prix européens du cinéma: Les frères Dardenne et Hans Van Nuffel primés à Berlin
Le Gamin au Vélo des frères Jean-Pierre et Luc Dardenne a décroché le Prix Européen du cinéma pour le meilleur scénario, samedi soir à Berlin.
Avis des internautes du film Melancholia
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Publié le 16 août 2012
Ennuyeux du début à la fin. Et certains donnent des prix à cela. Faut être décaler et poête.
Publié le 6 mai 2012
Essentiel
Il est des films qui touchent à l’esentiel. Parmi ceux-là il en est qui ont trouvé le raccourci narratif pour le rendre encore plus proche, tangible et mystérieux. C’est le cas de Melancholia, qui parle de notre condition de mortels, de nos constructions sociales, de notre construsction personnelle sur fond d’un scénario, d’une double mise en situation qui se révèle révélatrice : un mariage (quoi de plus emblématique de nos choix, nos codes, nos organisations sociales) suivi pas à pas, « de l’intérieur », et une menace de fin du monde qui plane et finalement se réalise (quoi de plus « vrai » que l’inéluctable que cette menace véhicule).
Melancholia : un must parmi ces films où l’histoire a la valeur universelle d’un conte : 2001, la guerre des étoiles, docteur Jivago, Mon nom est personne, l’arbre de vie, Fidler on the roof, l’échelle de Jacob, Mathilda …j’en passe
Publié le 7 janvier 2012
Une excellente année cinéma pour tous ceux qui l'aiment, sous toutes ses formes !!! Je tire mon chapeau à VictorB, Accatone et au petit (?) nouveau Billy-Ray (bienvenue !), capables de citer 20 (!) meilleurs films de l'année. Sans doute (?) ont-ils peut-être la chance d'habiter Bruxelles et/ou Liège (;-p, cher V.-E.), villes où l'offre est supérieure à celle de Mons, future "capitale européenne de la Culture" (...). Certes, nous avons le "Plaza-Art", dit le "Baza-Art", tant les conditions techniques (écrans, projecteurs et/ou projectionniste), d'horaire ("Le gamin au vélo", p.ex. - ou toute autre (co-)production Wallimage - tous les jours ou presque à 20h dans la meilleure salle, et les films les plus rares ou intéressants aux jours et séances seules accessibles aux étudiants brosseurs, aux pensionnés ou aux chômeurs) et de confort y sont hasardeuses, ou encore "Imagix", qui remplit l'exploit d'être le complexe projetant le plus de nanars et de séries Z- de tout le pays, et ce le plus longtemps, aussi... Cela étant, je me réjouis donc de pouvoir encore découvrir tant de très bons films (en DVD, sans doute, car d'Ecran Total, nous serons sans doute orphelins en 2012). Je meurs ainsi d'envie de découvrir, avec retard, 'Il était une fois en Anatolie', 'Pater', 'Detective Dee', 'Mafrouza', 'Hors Satan', 'Essential Killing', 'L'étrange affaire Angélica', 'Les mystères de Lisbonne', 'Le cheval de Turin', 'La grotte des rêves perdus' et bien d'autres ! Mais j'ai d'ores et déjà apprécié pleinement 'Mélancholia' (le film le plus juste et exhaustif sur les symptômes de la dépression, ouvert à plusieurs niveaux de lecture : une plongée dans un état limite de la féminité, touchant au cosmique; une dénonciation du néo-fascisme matérialiste totalisant et mortifère; une parabole psychanalytique et thanatophile de la maternité, l'abordant sous un autre angle (mère-fille, après mère-fils) qu''Antichrist', etc.). J'ai aussi beaucoup aimé - avec lucidité et/ou mesure, toutefois - 'Somewhere', 'Le quattro volte', 'Tree of Life', 'L'Appolonide', 'Habemus Papam', 'Super 8', 'La dernière piste', et quelques autres. A l'instar de mes amis cinéphiles, je déplore également l'état du paysage de la distribution des films et de l'existence même - trop rare - de salles de cinémas audacieuses, passionnées, bien gérées et contagieuses (dans le sens d'une fièvre d'éducation au langage du 7ème Art). A bientôt, qui sait?
Publié le 5 janvier 2012
1) Black swann;
2) Tree of life;
3) Appolonide;
4) Sucker Punch;
5) Super 8;
6) Melancholia;
7) Somewhere;
8) Frelon vert;
9) Un amour de jeunesse;
10) La guerre est déclarée ;
11) Drive ;
12) L’étrange affaire Angélica ;
13) Habemus papam ;
14) Fighter ;
15) Belle épine ;
16) La Proie ;
17) Scream 4 ;
18) Crazy, Stupid, Love ;
19) Attenberg ;
20) 17 filles ;
Une belle année ciné en effet, surtout comparée à 2010. La distribution en Belgique ne semble pas être un métier facile, surtout que le public ne suit pas toujours les films d'auteurs véritables. La faute est partiellement imputable à la critique belge qui a toujours autant de mal à lire un film au delà de son propos ou de qualités de mise en scène somme toute académiques. La sacro sainte justesse des acteurs, en même temps qu’elle formate les films (le cinéma US indé en est un bel exemple), envoie à la casse la moitié des films d'auteur français qui justement veulent aller au-delà d’une méthode appliquée et cherchent à créer de nouvelles formes de langage (même si parfois les postures parisiennes agacent un peu il faut bien le reconnaitre). L'accueil fait à des films comme l'Appolonide ou Belle épine est exemplaire de cette démagogie teintée de mépris puéril envers le cinéma d’auteur, notamment français et asiatique. Plus grave, cette politique du sujet sérieux encourage des films engagés et/ou dramatiquement lourdingue. Bel exemple avec le pénible « incendie » qui est un déficit de mise en scène constant. Tant mieux pour le cinéma si le public se passionne pour ce genre de film tant qu’il se déplace dans les salles mais la critique ne doit pas montrer une telle complaisance envers la faiblesse artistique sous prétexte de bonnes intentions. Cette affreuse doctrine (celle des bonnes intentions) a toujours pollué le cinéma et c’est bien normal puisqu’il est l’art le plus commercial. Il faut néanmoins continuer à l’identifier et la fracasser dès qu’elle pointe le bout de son nez. C’est aussi le rôle des critiques que de démasquer les impostures. Et en plus ça défoule!
PS : comment fait-on pour voir la critique d’un film qui n’est plus à l’écran ?
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jeff