Drive

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Action
  • Drame
Public: À partir de 16 ans
Année de production: 2011
Date de sortie: 02/11/2011
Durée: 1h40
Synopsis : Un cascadeur tranquille et anonyme se métamorphose dès que la nuit tombe : il devient pilote de voitures pour le compte de la mafia. La combine est bien rodée jusqu’au jour où l'un des casses tourne mal et l’entraîne dans une course-poursuite infernale. Il veut se venger de ceux qui l’ont trahi...

Actualités du film Drive

Ryan Gosling, maximum overdrive

Rencontre avec l’acteur qui monte. A la fois très doué et très “bombesque”.

Avis des internautesdu film Drive

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Publié le 8 octobre 2012
A l'époque je ne connaissais pas encore Ryan Gosling et vu l'affiche,(j'avais reçu des places gratuites), je pensais vraiment aller voir un navet pour mecs à mononeurones... Et puis ce fut le choc et un immense moment cinéma. Ce film est un chef-d'oeuvre de bout en bout! L'atmosphère, l'esthétique de l'image, la bande son et le jeu des acteurs... de l'émotion pure et dure, très dure même.

Publié le 23 janvier 2012
J'hésite. J'aurais tendance à dire qu'il est super naze et kitch à mort mais c'en devient presque intéressant. A voir au deuxième degré. Les voitures font des gros "VROUM" et ça, c'est chouette!

Publié le 22 janvier 2012
J'ai aimé le personnage, la musique, l'atmosphère et j'ai accroché du début à la fin.

Publié le 17 janvier 2012
super daubesque, c'est très lent, je me suis faich.. gravement, le scénar est merdique, désolé mais il n'y a rien la dedans.

Publié le 29 décembre 2011
Malgré ses nombreuses parentés avec d’autres films, Drive reste un film personnel parce qu’il n’est pas dans l’imitation mais dans le recyclage intelligent. En cela Refn ressemble à Tarentino. S’il récupère différents stéréotypes du film de genre c’est pour jouer avec et révéler leur vanité, tant ces personnages vont être emportés dans un torrent de violence qui frise l’absurde. Sans structure narrative pré établie, le film peut prendre impunément des directions inattendues. Commençant par une scène d’action pure prometteuse, il nous met à la diète pendant presque une heure avec une histoire d’amour à l’eau de rose. Celle-ci est interrompue par l’arrivée du mari, personnage lynchien par excellence puisqu’il annonce par le trouble qu’il porte en lui que le film va muter en quelque chose de tout autre. Tout ce qui était prévisible jusqu’alors est cours-circuité par cette apparition à la limite du surréalisme. Le film surprend car la tension accumulée était peu visible. Ce qui se dessinait (confrontation avec le mari, course de voiture) vole en éclat et fait place à une fatalité beaucoup moins romanesque et tout à fait triviale, d’où le côté déceptif du film. Cette trivialité s’exprime par une violence brute qui va toucher tous les personnages, tous mis sous pression par l’emballement d’évènements qui leur échappent. D’où la folie meurtrière, et une barbarie qui n’a rien de gratuit mais ne fait que souligner l’ineptie de ce dérapage incontrôlé.

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