L'Arbre
Titre original: The Tree
Réalisateur:
Origine:
- France
Genre:
- Drame
Public:
Année de production: 2010
Date de sortie:
25/08/2010
Durée: 1h40
Synopsis :
En Australie, Dawn et Peter vivent heureux avec leurs quatre enfants à l'ombre de leur gigantesque figuier. Lorsque Peter meurt au volant d’un arrêt cardiaque, sa voiture va s’écraser contre l’arbre. Chacun, pour continuer à vivre, réagit à sa manière. Simone, la petite fille de 8 ans, croit que son père vit à présent dans l'arbre. Un jour elle dévoile son secret à sa mère... Peu à peu Dawn retrouve des forces, un travail, un nouvel amour. La vie reprend mais l'arbre continue à grandir rapidement: ses branches et ses racines semblent envahir Dawn et sa famille. Ou bien les protège-t-il?
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2.5/10 Cote de du film L'Arbre
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7.5/10 Cote de du film L'Arbre
Avis des internautesdu film L'Arbre
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Publié le 7 octobre 2010
Dommage que le premier commentaire demeure celui d'un mauvais coucheur parce que ce film, s'il n'est pas pas d'une immense densité narrative, exerce néanmoins un certain charme de par l'interprétation de ses acteurs, la fraîcheur et la simplicité des dialogues, et la beauté de la mise en scène.
Certes, l'histoire pourrait se résumer en cinq lignes mais est-ce cela l'important ? Histoire de deuil, de famille, de fidélité, de nature, ... le tout traité sur le ton de la métaphore, de manière à la fois poétique, fantastique et réaliste en même temps.
Cela ne révolutionne pas le genre mais cela se laisse agréablement regarder.
Publié le 10 septembre 2010
Je pense que ce film, s'il n'a déjà quitté l'affiche, est tout à fait en train de le faire. Et ce n'est que justice... Voilà un cinéma creux, esthétisant sans puissance véritable, voire même ampoulé (les dialogues, d'une rare artificialité!), sans poésie ni surprise, descriptif et incohérent! Et pourtant le 1er quart d'heure fait illusion (grâce notament à une photographie soignée et au jeu si naturel et bouleversant de Charlotte G.), en fait jusqu'au moment où la petite Simone (7 ans à tout casser) vient réveiller sa mère dépressive en lui parlant de manière totalement invraisemblable, comme une adulte responsable, une mère, une tante, une soeur ou une amie plus âgée... Et ça va durer tout le reste du film, dont la progression est totalement prévisible et emplie de clichés (la mère ensevelie dans le sable par ses enfants; le nouvel amant qui trébuche sur une racine de l'arbre habité par l'âme du père, et qui veut l'abattre parce que ses racines envahissent de plus en plus le logis - bonjour, le symbolisme neuneu à 4 euros cinquante! -; la branche qui se détache pour enfoncer le toi(t) et tomber dans le lit de la jeune veuve après qu'elle ait eu une relation sexuelle avec son employeur...; et j'en passe et des meilleures!...). Quant au casting des enfants, c'est clichés et re-clichés (l'aîné qui devient adulte, le second des garçons qui se renferme, buté, la petiote ultra-ravissante qui philosophe dans son arbre, la blondeur angélique du benjamin mutique), tous ont le physique de l'emploi, sans aucun réalisme ni décalage! Les petites touches bobos (les lampions colorés en papier de chez Habitat, le barbecue de Noël au bord d'une plage sauvage et déserte - "Le premier Noël sans papa, et tout le monde s'en fout", s'écrie la Simone qui a voulu sauter de la voiture en marche (Non??? Si!!!) suffisent à faire déborder un vase déjà trop rempli! Pauvre Fernand Denis, qui porte aux nues un 'Arbre' bien plombé 300 coudées sous la puissance visionnaire d'Antichrist', et 700 coudées en-dessous de la poésie animiste d'Oncle Boonmee'...
Publié le 29 août 2010
un beau film et excellents acteurs surtout la jeune acrice qui interprète la petite fille .....
Toutefois l'histoire se révèle un peu mince et dès lors on en pressent (trop) rapidement le dénouement
Publié le 26 août 2010
Le rythme lent du film en impatientera certains, mais la beauté des images le compense en ce qui me concerne. Les bizarres secrets de cet arbre sont amenés par petites touches et ne sont pas "imposés" à la louche ; avec des seconds rôles aussi soignés que celui de Ch. Gainsbourg, bref, j'ai bien aimé !
- 1
isalyb