Le Merveilleux Magasin de Mr Magorium
Titre original: Mr Magorium's Wonder Emperium
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genre:
- Fantastique
Public:
Année de production: 2007
Date de sortie:
12/03/2008
Durée: 1h34
Synopsis :
Molly Mahoney est la gérante maladroite et incertaine de M. Magorium’s Wonder Emporium, le magasin de jouets le plus fantastique, le plus étrange et le plus miraculeux dans le monde. Mais quand M. Magorium, le propriétaire excentrique âgé de 243 ans, lui laisse le magasin, un changement sombre et sinistre commence à prendre possession du magasin...
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0.0/10 Cote de du film Le Merveilleux Magasin de Mr Magorium
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5.0/10 Cote de du film Le Merveilleux Magasin de Mr Magorium
Avis des internautesdu film Le Merveilleux Magasin de Mr Magorium
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Publié le 25 mars 2008
Beau petit film ! On nous fait rentrer dans un monde fabuleux, rempli de magie & de simplicité..! Vraiment bien aimé ! Ca ne nous prends pas la tête & on en sort charmé ! :)
Publié le 19 mars 2008
Ce film est très chouette !! Super bien imaginé, beaucoup d'originalité, c'est un bon film à aller voir avec des enfants.
Publié le 19 mars 2008
Très beau film.Un peu dans le style de nanny macfee : une tendre histoire avec de la magie. De plus, le personnage incarné par Dustin Hoffman est très attachant.
Publié le 15 mars 2008
Le Merveilleux Magasin de Mr Magorium est au rêve ce que le dernier Rambo est à la boucherie, une pondération salutaire où tout le monde il est presque gentil, tout en légèreté, en douceur. Un univers où les assemblages de couleurs se fondent à merveille dans le désordre organisé d’une boutique de jouets... magiques ! Diagnostiquons qu’à part la présence remarquée de "Dustin" dont certaines mimiques rappellent le jeu feutré d’un autiste « oscarisé » (Rain Man) et la frimousse rafraîchissante de Natalie Portman, le film n’a d’intérêt que de dépoussiérer les archives nostalgiques des plus grands ou de scénariser les songes du lendemain des plus petits. Un exercice délibérément imposé (les enfants dictant généralement ce choix !) aux antipodes des préoccupations quotidiennes d’un homme gavé d’hormones de croissance, repeignant d’un rouge sang et d’une giclée de pruneaux métalliques la jungle birmane ; un papy misanthrope qui doit son « étonnante » tonicité à un excès de vitesse pelliculaire (attention aux flashs !).
Étrange, vous avez dit ?
Malgré une pluie de carences évidentes : personnages lisses, conflit filiforme, dialogues rudimentaires, on se laisse néanmoins ensorceler par les images réconfortantes (voire rassurantes) de ce que l’on pourrait qualifier de « nouvelle » cinématographique tant ce nouveau "Hoffman" s’évertue à rester en surface, préférant le verbiage moelleux d’une gérante maladroite aux onomatopées belliqueuses d’un prédateur isolé.
Un salut onirique, après un salaud émétique…
-- Adrian, il est pas gentil lui !
- 1
pekka