Le Renard et l'enfant
Réalisateur:
Acteurs:
Origine:
- France
Genre:
- Documentaire
Public:
Année de production: 2007
Date de sortie:
12/12/2007
Durée: 1h32
Synopsis :
Un matin d’automne, au détour d’un chemin, une petite fille aperçoit un renard. Fascinée au point d’oublier toute peur, elle ose s’approcher. Pour un instant, les barrières qui séparent l’enfant et l’animal s’effacent.
C’est le début de la plus étonnante et de la plus fabuleuse des amitiés. Grâce au renard, la petite fille va découvrir une nature secrète et sauvage. Commence alors une aventure qui changera sa vie, sa vision et la nôtre...
C’est le début de la plus étonnante et de la plus fabuleuse des amitiés. Grâce au renard, la petite fille va découvrir une nature secrète et sauvage. Commence alors une aventure qui changera sa vie, sa vision et la nôtre...
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5.0/10 Cote de du film Le Renard et l'enfant
Avis des internautesdu film Le Renard et l'enfant
Publié le 14 décembre 2007
Le réalisateur de la Marche de l’Empereur passe à la fiction, avec un résultat fort mitigé. Résultat : beaucoup de bâillements dans la salle, toutes tranches d’âge confondues. La désillusion est proportionnelle au matériau dont le réalisateur disposait pour créer un vrai film : une petite fille épatante, une France sauvage, Isabelle Carré, sans parler des animaux, et de son savoir-faire de réalisateur animalier. Hélas, l’histoire ne démarre vraiment que 10 minutes avant la fin… Avant cela, c’est « Chronique d’un apprivoisement impossible », pendant 1 heure 20. On peut s’extasier devant la beauté des images, mais pas très longtemps, car tout fait un peu toc, un peu fabriqué, un peu léché, bref, trop construit. A la petite, on demande d’enchaîner les sourires niais, en gros plan, qui sont montés systématiquement après la découverte d’un nouvel ami-animal. Le parti pris qui consiste à ne montrer aucun être humain à part elle fait vite songer à une pirouette, on décèle là plus de paresse scénaristique qu’une volonté esthétique forte. La musique, sans doute fort intéressante si écoutée séparément, est utilisée de manière redondante, jusqu'à être (involontairement) comique. Le renardeau danse? La musique aussi! Le renardeau est triste? La musique l'imite immédiatement, bien docile. La cerise sur le gâteau arrive au générique, devant la longue liste des dresseurs : le sentiment de s’être vraiment fait mener en bateau. A l'heure où sort également "Survivre avec les loups", ce film-ci vient nous rappeler qu'il n'est pas évident de faire un film réussi avec des enfants et des animaux. Quel contraste entre la mièvrerie de l'un et la retenue bouleversante de l'autre. Faites votre choix!
Publié le 11 décembre 2007
Un petit commentaire pour un petit cocorico : à signaler que la grande majorité de la musique présente dans le film a été signée par un jeune Verviétois de 26 ans : David Reyes. Un nom à retenir, tant la musique qu'il a écrite est magnifique !
Quant au film, c'est un pur bonheur, les images sont sublimes, la petite fille est attachante et le renard l'est tout autant, et la morale délivrée est intelligente. Et surtout le film nous donne à voir avec un autre regard cette nature qu'on ne regardait plus... Le film idéal pour Noël - et un magnifique film, tout simplement !
cyberpunk