Cages

Origines:
  • France
  • Belgique
Genre:
  • Comédie dramatique
Année de production: 2006
Date de sortie: 09/05/2007
Durée: 1h26
Tout public
Synopsis : Eve et Damien forment un couple très amoureux depuis longtemps. Leur vie est belle et intense au bord de l’océan atlantique. Jusqu’au jour où tout bascule. Eve est victime d’un accident de la route. Si les blessures physiques s’estompent vite, un traumatisme psychologique persiste et lui ôte la faculté de parler. Aucun traitement n’est fiable et Eve se retrouve prisonnière de son mutisme. Son couple s’essouffle car, pour la première fois, Damien ne la suit pas, ne la comprend pas. Incapable d’entendre ses silences, il s’éloigne jusqu’à trouver du réconfort dans les bras d’une autre. Eve ne le supporte pas. Elle veut se battre, lui prouver qu’elle peut changer, qu’elle peut redevenir comme avant. Eve est prête à tout pour sauver leur amour... Jusqu’où ira-t-elle ?
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    7.2/10 11 votes - 11 critiques
  • 7.5/10  Cote de lalibre.be du film Cages

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Photos du film Cages

Avis des internautes du film Cages

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Publié le 3 novembre 2009
Beaucoup aimé ! On peut être fier du cinéma belge quand on voit ça ! Et Anne Coesens est remarquable !

Publié le 4 juillet 2007
Quoi q'on dise sa reste une histoire de culs. Tout ce qui entoureest comme un décor kitch et les personage manquent de véritable sentimen humain.

Publié le 5 juin 2007
C'était pourtant inégal, il y avait des scènes que je n'aurais pas mises. Prises de vue superbes, et la musique ... waw! aussi! Et l'actrice! Mais surtout ce film m'a parlé, il m'a chamboulé et ça, c'est très personnel, propre à l'histoire de chacun, des trucs enfouis qui remontent même si on n'en veut pas, je m'arrête là...j'ai beaucoup pleuré après, ah la la!

Publié le 1 juin 2007
Salles monopolisées par les grosses productions ou séances à des heures indues: trop rarement m'est donnée l'occasion de découvrir un film intimiste et sans prétention. J'en savourais donc le plaisir à l'avance. Sans parler des coupables délices que sont ces retrouvailles avec le beau Sagamore, en tenue d'Adam qui plus est, offert en sacrifice au pilori de la passion.... Exercice difficile que de disséquer l'intrigue sans la déflorer de sa surprenante fin. Mais je me risque toutefois à en commenter la ligne directrice: nul doute que certain(e)s ressentiront une réelle empathie à l'égard de cette femme amoureuse acculée à certaines extrémités par désespoir de voir son cher et tendre trouver réconfort dans d'autres bras plus communicatifs. Une histoire d'amour destructif? Non mais chronique d'un amour désespéré bien. De ces images, en persiste une qui triompte de justesse: quel coeur à l'agonie n'a pas aspirer à retenir de force son aimé(e), tenter de le convaincre de sentiments enfouis, le ramener aux bans de la passion? Seul diffère ici que le sens propre prend le pas sur le figuré. Mais toute fille d'Eve apprendra à ses dépends qu'il ne faut confondre ni amour et désir, ni faim spontanée et appétence forcée... Côté réalisation, on retrouve une certaine crudité femelle à la Breillat, qui sert fort bien la teneur viscérale du récit. En quelques mots, une tendre folie qui fait la part belle aux silences et aux larmes dans un film imparfait mais porté par une actrice en excellence (Anne Coesens) et un acteur décidément trop rare. A chacun de juger si le sujet lui parle ou non....

Publié le 18 mai 2007
Pas plus que 5. Désolé, comparé à tous les excellents films que j'ai vu ces derniers temps, je ne suis pas d'accord avec les 9 et 10 des autres commentaires. Commentaires sur base desquels j'ai choisi ce film :-( Ce film est ... carré. Oui, je sais le mot est bizarre, mais c'est le mot qui me vient à l'esprit quand j'y repense. Des personnages carrés, des sentiments carrés. Bien carrés, comme la tête d'un robot. J'en viens à me demander si la trame de l'histoire ne sert pas d'emballage aux scènes de cul (dont une est particulièrement sensuelle, je n'en disconviens pas). Ma compagne est un peu moins tranchée dans son opinion, et une femme interrogée au hasard dans la salle m'a dit: "mi-figue mi-raisin".

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