Inland Empire
Réalisateur:
Origines:
- États-Unis
- France
- Pologne
Genre:
- Drame
Public:
Année de production: 2006
Date de sortie:
07/02/2007
Durée: 2h52
Synopsis :
L'imaginaire d'une femme, torturée par le remords de s'être plusieurs fois prostituée en l'absence de son mari, visualisé comme un empire intérieur en déliquescence. Un récit schizophrène aux allures de cauchemar éveillé.
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10.0/10 Cote de du film Inland Empire
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0.0/10 Cote de du film Inland Empire
Avis des internautesdu film Inland Empire
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Publié le 31 mars 2007
Grosse déception (de plus de 3h00 !) avec ce film qui est le plus mauvais film du maître, et dieu sait (s'il existe) si j'en suis fan ! A part l'une ou l'autre séquance et quelques idées toujours aussi bizarroïdes, cette nouvelle livraison lynchesque ne vaut au final pas un clou ! Mon jugement : mauvais film ! Dominique Piérard
Publié le 25 mars 2007
J'aurais dû lire les critiques des cinebeliens... Un film sans queue ni tête ni scénario ! Une action (???) qui se replie sans cesse sur elle même, compliquée au sens premier du mot :pleine de (faux plis)... Aucun fil cohérent, sinon un jeu d'indices ne débouchant sur aucun développement du récit... Une mise en abîme permanente où le spectateur et le film se noient... Incroyable ! Je ne suis pas sorti parce que je croyais que j'allais enfin comprendre... mais non !
Et alors, ruse suprême, pas de générique de début... on croit pendant dix minutes que ce n'est pas le bon film, qu'on a eu une absence ou que c'est un court métrage (à gros budget ???) d'étudiant qui veut en jeter... A jeter... Sauf le jeu de Laura Derm (coproductrice, tiens tiens !) remarquable mais stérile... Bref ! Une expérience à nulle autre pareille : nulle tout court !
Ha oui... Qui sait ce qu'est devenu le type avec le flingue et le cheval dans la mine ?
Publié le 20 mars 2007
Est-il encore nécessaire de présenter David Lynch et sa filmographie hors-norme ? INLAND EMPIRE est sa nouvelle oeuvre, dans la droite lignée de Lost Highway et Mulholland Drive mais tourné, pour la première fois, en caméra DV. Boycotté par Hollywood et adulé par les cinéphiles, son dernier projet est un nouvel OVNI cinématographique.
INLAND EMPIRE est un nouveau plongeon dans le monde d'Hollywood, machine à pognon et de toutes les convoitises aux yeux de mister Lynch. Tout comme Mulholland Drive, une actrice se perd dans le labyrinthe tortueux entre réalité et fiction d'un film au passé bien lourd. Elle s'y enfonce tellement qu'elle y franchit rapidement le point de non retour.
Grand fan de David Lynch, je ne pouvais qu'être impatient à l'idée de voir son dernier film, cinq ans après son magnifique Mulholland Drive. Trois heures de David Lynch en un film, les aficionados allaient être gâtés. Euh oui mais... trois heures de son cinéma atypique, ce n'est pas un peu trop prise de tête ? Malheureusement oui ! En plus d'être long, cette nouvelle oeuvre ne semble pas contenir un quelconque fil conducteur ou même, quelques indices pour nous tenir en haleine. Il ne s'agit que d'un condensé indigeste de l'ensemble de sa carrière, en voulant pousser trop loin son expérience entreprise avec Lost Highway et Mulholland Drive.
Cette dernière expérience de David Lynch est une déception à tous les égards. L'utilisation de l'image digital n'arrange rien et nuit à la patte visuelle talentueuse de Lynch. A vouloir faire toujours plus et toujours plus osé, le résultats ne donne tout simplement rien, juste un simple enchaînement de scène qui rappelle la carrière de ce grand réalisateur. Pour la première fois, je n'irai pas voir deux fois au ciné un de ses films, tout arrive !
Á Retenir : La famille lapin, une voisine bien étrange, beaucoup trop long, première déception pour un Lynch et "David, reprends-toi au plus vite !".
Publié le 7 mars 2007
Je crois qu'il est à peu près impossible de formuler un avis sur le cinéma de Lynch qui puisse d'une manière ou d'une autre être objectif. Et même si Inland Empire semble avoir rebuté certains fidèles, il n'échappe pas à cette règle. Lynch provoquera toujours des batailles d'Hernani dans la mesure où son cinéma se conçoit comme une oeuvre personnelle à laquelle on adhère pas en fonction de ses goûts mais de ses tripes. Bref, commenter ce film relève de la mission impossible. Même si je l'ai trouvé un peu au dessous des ses deux précédents opus, je suis sortir de la salle comme toujours après un film de Lynch, avec cette impression que son cinéma tient de l'épreuve physique et intellectuelle pour le spectateur et que sa virtuosité tient justement à cette faculté de toucher certains spéctateurs à l'aide de ses délires oniriques?
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Filmliefhebber