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Sacha Baron Cohen met la Croisette en émoi
Publié le 16 mai 2012 dans Actu ciné
Première pagaille sur la Croisette: Sacha Baron Cohen a fait son show en apparaissant en dictateur
Devant des dizaines de photographes de presse, cameramen et badauds rassemblés devant le Carlton, l'un des palaces cannois, Sacha Baron Cohen s'est offert une promenade sur la croisette à dos de dromadaire aux couleurs du héros du film, et rebaptisé Oussama, provoquant d'importantes difficultés de circulation et mettant les policiers municipaux à rude épreuve.
Dans une cohue indescriptible, le faux dictateur s'est installé en terrasse d'un café de la Croisette, après être descendu de son dromadaire. Agrémenté d'une longue barbe postiche, Sacha Baron Cohen version dictateur s'est ensuite rendu dans une boutique de prêt-à-porter de luxe, toujours suivi par une nuée de journalistes et de curieux.
Il en est ressorti avec un foulard orange qu'il a offert aussitôt à son dromadaire loué pour l'occasion par la Paramount.
Devant les journalistes, Sacha Baron Cohen a fait dire à son personnage de dictateur "qu'il avait financé la campagne de François Hollande à hauteur de 500.000 euros", avant de saluer "le courageux manque d'action des Nations Unies contre Assad" (NDLR : Bachar el-Assad, président de la Syrie).
Le dictateur plus vrai que nature a assuré qu'il n'était pour rien dans la foudre qui a touché mercredi l'avion de François Hollande. "Ce n'est pas moi!", a-t-il déclaré solennellement, en surnommant le nouveau président de la République "Hollandaise".
Lors de la dernière cérémonie des Oscars à Hollywood, Sacha Baron Cohen était apparu une première fois en dictateur dans le but de répandre sur le tapis rouge les cendres "de feu son ami Kim Jong-Il", le défunt leader nord-coréen.
Inspirée par l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein, cette comédie satirique et déjantée réalisée par Larry Charles et qui sort aujourd'hui sur nos écrans raconte "l'histoire héroïque d'un dictateur qui a risqué sa vie pour s'assurer que la démocratie n'arrivera jamais dans un pays si amoureusement opprimé".
(Paramount et AFP)
Dans une cohue indescriptible, le faux dictateur s'est installé en terrasse d'un café de la Croisette, après être descendu de son dromadaire. Agrémenté d'une longue barbe postiche, Sacha Baron Cohen version dictateur s'est ensuite rendu dans une boutique de prêt-à-porter de luxe, toujours suivi par une nuée de journalistes et de curieux.
Il en est ressorti avec un foulard orange qu'il a offert aussitôt à son dromadaire loué pour l'occasion par la Paramount.
Devant les journalistes, Sacha Baron Cohen a fait dire à son personnage de dictateur "qu'il avait financé la campagne de François Hollande à hauteur de 500.000 euros", avant de saluer "le courageux manque d'action des Nations Unies contre Assad" (NDLR : Bachar el-Assad, président de la Syrie).
Le dictateur plus vrai que nature a assuré qu'il n'était pour rien dans la foudre qui a touché mercredi l'avion de François Hollande. "Ce n'est pas moi!", a-t-il déclaré solennellement, en surnommant le nouveau président de la République "Hollandaise".
Lors de la dernière cérémonie des Oscars à Hollywood, Sacha Baron Cohen était apparu une première fois en dictateur dans le but de répandre sur le tapis rouge les cendres "de feu son ami Kim Jong-Il", le défunt leader nord-coréen.
Inspirée par l'ancien dictateur irakien Saddam Hussein, cette comédie satirique et déjantée réalisée par Larry Charles et qui sort aujourd'hui sur nos écrans raconte "l'histoire héroïque d'un dictateur qui a risqué sa vie pour s'assurer que la démocratie n'arrivera jamais dans un pays si amoureusement opprimé".
(Paramount et AFP)